"a
minor jes sources pa électrique
jugées nécessaires par les
stitutions coopératives pour obtenir |”
meilleurs: résultats économiques
daus l& provitice, en vue de mettte sur | dans l'intérêt de notre population.
led un projet provincial :qui fournf: rait une énergie économique pour l'in- dusirte et l'agriculture.
“12 gouvernement à aussi l'iiten- tion de suivre strictement le principe déjà adopté de laisser la direction des
—Le manifeste indique que te-gouver- | eftreprises coopératives entièrement
hement a déjà fait des recherches pré- liminaires qui ont révélé que de grands développements scientifiques, surtout au sujet de la transmission plus éco- nomique de l'énergie électrique, ont été réalisés ces dernières années. 1] en est venu À la conclusion que l'ab- «sence d'énergie électrique bon marché est le plus grand obstacle au dévelop- pement industriel.
Le chemin de fer de la Baie
Le gouvernement continuera, corn- me par le passé, d'user de tous les moyens légitimes, en pleine Ccoopéra-
entreprises dans un avenir immédiat. Le manifeste déclare que le gouverne ment a réduit les dépenses contrôla bles de #$1,267,000, où 21 pour cent, dans les déux dernières années.
Questions d'éducation
Le manifeste consacre beaucoup d'espace aux questions d'éducation. Le gouvernement continuera ses oc- trois Mbéraux pour développer. de plus en plus les difrérentes branches de l'instruction. Un total de plus de trois Millions et trois quarts des dépenses provinciales, soit 31 sous !{ sur cha- que dollar, est affecté au budget de
les plus ur&6htôf Séules devraient être
aux membres de ces institutions.” Les transports
Attaquant la question des transports, le manifeste inentionne l'approbation unanime de l'acte du gouvernement qui a abouti à la restauration des taux de la Passe du Nid de Corbeau; ceci a valu aux fermiers une économie moyenne de cinq à six sous par minot de blé et une économie proportionnelle : sur les autres grains. Le gouverne- ment 4e propose de suivré, comme dans le passé, la même politique éner- gique et pratique au sujet des taux
C.-A: Dufining à” été formé le 5 avril 1922, à In suite dé 14 démission de l'hon. Williari Martin, qui était pre: mier ministre depuis 18 20 octobre 1916. M. Dunning était éécrétaire pro- vincial dans l'adininistrétioñ Martin.
La position dés différents partis tel- le qué donnée officiellement le 1er mai 1924 était comme suit: gouvernement, 45; indépendants, 14; indépendant-con- ; servateur, 1; conservateur, 1; ouvrier, 1; siège vacant, 1. Total, 63. :
Les dernières élections générales de la Saskatchewan ont eu lieu le 9 juil- let 1921.
ROBERT FORKE PROGRESSISTES
LES DROITS DU “WHEAT POOL’ EN SASKATCHEW
| Après enquête, le gouvernement à ap-
Le maréchal Lyautey masse _.8e8: POuCRRe greS- ds oUaive contre les re belles
Paris — ,Les troupes françaises du Maroc se: trouvent sérieusement en- gagées avec les troupes riffäines com mandées par le rebellé Abd-el-Krim.
La demände faite par le maréchal Lyautey pour obtenir de l'aftillerie
| lourde afin de bombarder l'ennemi lui a été accordée. Les canoûs sont main- tenant en route. de dix bataillons d'infanterie et de deux corps d'aviation venant d’Algé- rié. Le maréchal concentre toutes ces forces en vue d'une grande offensive qui/va avoir lieu incessamment. 7 ‘Le pren sur le front de cent
L'ennetui dispose “avions qu'on croit être conduits pér dès aviateurs âllémands. Des officiers allemands ont, rapporte-t-on, été faits prisonniers ces jours derniers.
Les officiers francais sont ‘surpris de constater que les Riffains disposent maintenant d'artillerie lorsqu'ils n’en avaient pas contre les Espagnols.
pris que certains des canons sont de Harque anglaise. Il a immédiatément protesté auprès ‘du gouvernement bri- tannique, mais ce dernier a répondu que la plupart des canons sont de mar- que française. Après une nouvelle en- quête, on a découvert qu'une forte quantité d'armes ont été expédiées de France en Amérique du Sud récem- ment et qu'il est possible qu'une par- tie de ces armes soit passée aëx Rif- fains.
D'après une entente avec le sultan du Maroc, la France a .un mandat qui l'oblige à maintenir l'ordre dans tout lé Maroc. En 1912, la France avait
Mais le chef de file (whip) intéfemaht D nent accénté que l'Espagne maintienne l'or
Johnston est remplacé par C.-W. Stewart, de Hum- : bolét
Ottawa — Le vote sur le budget a ‘causé une perturbation considérable ‘dans les rañgs du parti progressiste.
On dit que M. Forke et ses princi paux lieutenants étaient décidés à fai- fe porter tout l'effort de leur parti con- tre le gouvernement lors du vote sur lé budget, et même à le renverser, si la chôse était possible. La victoire du gouvernement est. due, dans les cir- constancés, au fait que de nombreux progressistes ont refusé d'obéir aux -diréetions de leur éhéf à la toute der- nière minute, et surtout à M. Johnston, leur whip; resté libéral, et. qui semble jouer à gauche. . à
M. Forke aurait préféré battre le gouvernement tout de suite, et provo- quer une élection immédiate, car de toutes manières il croit que les élec- tions générales auront liëu cette an- née et que le plus tôt possible aurait été à l'avantage du parti dans l'Ouest. Bi ses partisans avaient suivi ses di rections, la majorité du gouvernement n'aurait été que de 3 à 4 voix.
Depuis le vote sur le budget, les pro- gressistes ont eu de longues délibéra- tions. A la suite d'une dernière con- férence tenue mercredi, Il a été annon- cé officiellement que Robert Forke, dé- puté de Braudon,, restait Chef du pérti, mais que J.Pred Johnston avait dé- missionné comme chef de file di parti et avait été remplacé par C.-W. Stew-
. art: de Humboldt, Sask.
M. Forke avait posé une sorte d'ul- timatum, insistat sur certains chan-
4
du :; du . Pool’’ contre Léon-R. Zu-
Régina — Le droit du“Wheat Pool” de la Saskatchewan de faire des affai. res däñs la province avec son autorisa- tion actüelle, sans être licencié sous l'empire de la loi du Grain du Canada par la Commission du Grain, peut être mis én jeu par le transfert de la cour de district à la cour du banc du roi de l'action intentée par le “Wheat Pool” contre Léon-R. Zurowski, de Southey, pour rupture de contrat.
Bien que le montant compris dans la rupture du contrat ne dépasse pas 5375 et demeure par conséquent dans la juridiction de la cour de district, l'avocat du “Pool”, en faisant sa de- mande de transfert, a déclaré que les questions soulevées par Zurowski dans sa. défense sont “hors de proportion avec la somme engagée dans le litige et vont au fond même de l'organisa- ticn de la compagnie plaïknante et de ses méthodes d'opération”: il a soutenu que la cause devrait être entendue devant une cour supérieure.
Zurowski déclare, dans sa défense, que Jle“Wheat Pool" n'a pas de licence de la Commission du Grain du Canada pour faire ses opérations dans la pro- vince et qu'il n'a pas le droit d'y faire affaires comme marchand de grain. 11
conteste également la validité du con- trat en cé qu'il restreint Je commerce en exigeant que tout le blé produit soit porté sur un marché unique.
NEW-YORK — r apprend la mort,
‘survenue à Rx: du T. R P. Louis
gements dans l'organisation pariemen-| Theissling, su * général de l'or- taire comme de son main-|dre des Dom tien à la tête du parti hollandais.
PAC TRES PTS PRRRRERR RP SERRE RES SCT ET ETATS
##Wheat | dre dans une zone déterminée, mais
les Espagnols ont maintenant évacué toute cette région, tout en s’opposant à ce que la France intervienne. I} est- probable que celle-ci aura le support moral de la Grande-Bretagne, dans toute cette affaire, à la condition que la rive immédiatement opposée à Gi- braltar ne soit pas occupée et que le slatut de Tanger ne soit pas changé.
Les Doukhobors affluent aux écoles publiques
Victscia, CA. — Les Doukhobors envoient maintenant leurs enfants aux écoles publiques avec un tel ensemble que celles-ci vont se trouver insuff- sagtes, Les écoles qui ant été brûlées par F8 obors, pendant jeur “guerre” à les autorités provincia- les, seronl'ureconstruites immédiate. ment afin de sâtisfaire aux exigences üe ja population scolaire.
ei "5 2e
Montréal — Lés pèlerins canadiaps de l'Année ‘Sainte sont partis ic 4, à bord du “Minnedosa”, dé la compagnie du Pacifique Canadien. Témoins d'u- ne d'monstration sympathique de la part de leurs parents et anis, ils ont
*
d'heureux retour.
Aux premiers rangs et fParmi une treniaine de membres du clergé et plus de cent pèlerins laïques, on remar- quait 8. G. Mgr J.-H. Prud'homme, évé- que de Prinee-Albert, le directeur spi- rituel du pèlerinage national, et M. l'abbé G-J. Kirby, le recteur de la ca-
H était sujet | thédrale de Toronto, qui a charge du
groupe de langue anglaise.
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Lure mom 5 SR Re CRREDEURE HE APRES CRE PER SERV
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11 en est de même |
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: membre du comité des sites
nument élevé par souscription publi- + de Sprisgfeld, rappelle un voyage qu'il | que à saint Jean-Baptiste de La Salle, Lord Byng viendra dans a'tait à Fort Nelson en août derhiet | fondateur de l'Institut des Frères des l'Ouest au mois de juin et déclare que la situation dy chemin Ecoles chrétiennes.
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Nous sommes Éérier ‘d'annoncer à nos lecteurs que la. “Liberté” a décidé d'organiser une grande tournée dramati- que qui visitera tous les centres français | : du Manitoba au cours de l'été. :
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On n'a pas oublié le magnifique succés Mr she s remporté par nüs tourné aré (2 saine d'années, à. . Nous voulons faire . nitoba. 11 était © année, Nos artistes. s par du “gramme inléressarit ét u Ps 1 sûrement aux désirs de 1 ation fran- as 5 + 8. 0. MGR JT. KIDD, çaise du Manitoba. : por L : : k
le nouvel évêque de Calgary, sacré à bmétir de urnes cu
A cette méme place nous Abrstens, "la semaine. prochaine, divers è ments sur la troisième Grande Tournée 4 dramatique de la “Liberté”. à. PA
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LE SACRE DE- S. G: MGR KIDD
S. E. Mgr Piotro di a d'est Re
Toronto —'Un grand nombre dé pré-. lats, de prêtres séculiers et réguliers et de laïques éminénts opt assisté, dans la cathédrale St: Michael, au sa-! cre de Mgr John T. Kidd, ancien supé- rieur du séminaire Saint Augustin et nouvel évêque de , en rempla- |' cement de Mgr'John-T: Mann e cemment nomme ere de
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de Torônto, et Mgr rs dard Emard,. archevêque d'Ottawa. “Mer Jobn-T, MeNally a prononcé le sermon de ‘circonstance. ” La cathédrale était remplie à. son Comble. Parmi les laïques, on remar- quait le Herante gouverneur Harry Cockshutt, de la |prbvince d'Ontario, et le maire Thoma s Foster. +
Parmi les diginaires ecclésiastiques on distinguait NN, SS. Arthur Béli- veau, archevêque de Saint-Boniface; Michael-Joseph Spratt,: archevêque de Kingston; Patrick Thomas Rydh, dve- que de Pembroke; Guillaume PFbrbes, évêque de Joliette; Michael-Joseph O'Brien, évêque de Peterborough; Louis Rhéâume, évêque de Hatley- bury: Louis-Joseph O'Leary, évêque de. Charlottetown: Alphonse-Emma- nuel Deschamps, évêque titulaire de Thennessis et auxiliaire de Montréal: Hermann Brunault, évêque de. Nico- let; Alfred Langlois, évêque auxiliaire de Québec, et Thomas O'Donnell, évé- que de Victoria, qui fut lui-même sa- cré évêque tout récemment dans Ia même cathédrale.
Mgr G. Cavan, supérieur. du sémi- des chvésiciiiée. j
A Calgary ’
Calgary — L'installation de 8, 6: Mgr Kidd comme évéque dé Calgary a eu lieu mardi dans sa catliéärale. 8. G. Mgr O'Leary, archevêque d'Edmon- ton, présideit la Mon de circonstance a été ‘donné par S. G. Mgr Sinnott, archevêque dé gg
pendant toute une Persia Nr éentte de terminer la construction du chemin de fer de la baie d'Hudson,/:M, A. Knox, député progressiste de, Prince- Albert, avait présenté, une résolution demandant “une étude et uné récon- naissance plus efficace à la résolution due le Parlement adoptaïit le 12 mars 1923 et qui étabiissait la priorité du chemin de fer de la baié d'Hulson sur tout autre projet de transport posté- rieurement commencé”. La résolution a été adoptéé à l'unahiinité.
Uné quinzaine de députés progres- sistes ont parlé sur ce sujet et tous se sont prononcés en faveut du projet. Plusieurs même ont fortement repro- ché au gouvernemgnt de n'avoir pas tenu sa parole et de n'avoir pas ter- miné, plus, tôt cette entreprise. Les progressistes sont eus que, lé, transport du grain profiterait énormé- mentsi jle chemin de fer.était terminé et un service de bateaux établi entre Port Nelson et les ports européens, Plu- sieurs d'entre eux ont reproché les grandes dépenses. faites, chaque an- née, par le gouvernement pour le ca-. nal Welland. M. Hoey, très favorable “projet, a déclaré qu'il ne r «| pas d’un bon oeil le gourernement qui, au moment dé la dépression financière actuelle, dépenserait dé fortes som mes pour achever le chemin de fer dé la baie d'Hudson.
Andrew _Knox
M. Knox rappelle que la question
de la construction du chemin de 1er
projets devoyage. Quant à me, j'ai eu na dernière aventure: Vive 6: Ca- nada! J'y suis, j'y reste,;." x
Nouvelles Brèves
‘
REGINA — L'hon. J.-A. Cross, pro- cureur géréral, ét Donald-A. McNiven, les deux députés provinciaux actuels de Régina, seront de uouveau les. can-! didats des libéraux aux prochaines élections. r
OTTAWA —- Le gouvernement vient de nommer M. Aegidius Fauteux, de
et des monuments historiques dû Ca- nada. Il suce qui démissions
d'avis que sf lof tenait aujourd’hui { uñ plébiscite dans l'Ouest, 1 y-s des nr région entières où 60 ou 70 pouf cent | voterait en! faveur
e à M. Victor Morin, il y a quelque temps.
REGINA — Un nouveau journal, “The New Standard”, vient de faire son apparitiün. Cé journal est lancé | par le parti conservateur en vue de la prochaine campäsne électorale.
MONTREAL — Mgr Théodute Nep- veu, curé de Saint-Clément de Beau- harnois, est décédé à l'âge de 61 ans.
WELLINGTON, Nouvelle-Zélande —
Willam-Ferguson Massey, premier mi- | nipeg. de la baig d'Hudson a été discutée à nistre de la Nouvelle-Zélande, est — ©" 20h D — prete Fe a > que les députés mort. C'étaitde dernier des premiers «3: : t en faveur du projet. On à ministres d'avant-güerre; ‘il était au M. pong sa exagéré Se érne déclära- “ berta. tions touchant le mauÿais effet des
‘conditions climatériques dé la bale d'Hudson, Le travail du port de Churchill n'a pas été sraptoment ean- dommagé
. Au cours de 1923 et 1924, il a été dépensé $413,000 pour la restauration äu chemin de fer de la baie d'Hudson, alors qu'il en a été dépensé $22,800,000 pour le canal] Welland. Ceux qui sont allés s'établir dans l'Ouest ont tou- Jours compté sur l'achèvement de ce chemin de fer et ont même fait cer. taines dépenses, comptant que le gau- yernement mettrait à exécution ses promesses.
Montréal] — M. Philippe Roy, com- missaire général du Canada À. Paris, est arrivé À Montréal. M, Roy don- nerait incessamment sa démission comme commissaire et serait nommé sénateur en remplacement de feu M. Côté, d'Edmonton.
Les candidats aw poste de commiis- saire de manquent pas, mais selon la rumeur, M. L-A. David, secrétaire pro’ vincial, serait fayorisé par le gouver- nement fédéral. On dit par ailleurs que M. H. Béland, ministre de l'hygiè- ne dans le gouvernement fédéral, ne refuserait pas. lé poste, s'il 2 était
QUEBEC — Mme Benjamin Roy, mère de S. G. Mgr Paul-Eugène Roy, archevêque de Séleucie et eoadjuteur de Son Eminence le cardinal Bégin, est décédée à Berthier en-Bas, à l'âge de 95 ans.
OTTAWA — La Société Royale du Canada tiendra sa réunion annuelle À Ottawa, les 18, 19, 20 et 21 du mois
courant, au Musée Victoria.
ROUEN — On commémogers à Rou- en, au mois de juin prochain, le gin- R.-A. Hoey
M. R-A. Hoey, député progressiste
pouvoir depuis 1912.
quantenaire de l'inauguration du mo- |
de fer est très favorable. Le peuple Ottawa — Son Excellence le gouver- de l'Ouest ne demande pas ia construe- neur général partira d'Otiawa le 16} tion du chemin de fer de la bals jui pour une tournée dans l'Ouest qui | d'H . 11 demande que le gouver- dûrera un mois. L'itinéraire compren- tiens bonss Le lis de dra des arrêts à Winnipeg, Edmonton, longueur de 92 milles, de Kettle Rapids
NEW-YORK—Le “New York World” anronce que trois groupes de capita- listes se réunifont à Détroit, d'ici deux semaines, pour orpaniser un service aérien New-York-Chicago. La compa- SO
.
47 grain per la bete d'Hudson
; it de 4x jours le transport réal. j
M. JL. Brown, député prhgressiate He Lädgar. et M. T-W. Bird, députs Rnre Ds rm es 3 Projet. Mais M..W. Duff, Mbéral, à - “Ados eet-opposé. se
%" * : L'hon, GP. Graham ee * Le ministre des. chemins de fer, Thon. GP. Graham, déclare que le ù Jpouvernement. ne - peut pas sbandon- À x 4 lé projes de terminer le chemin de lé Ja baie. d'Hudson. Mais 1] ne. x -rétarder la construction d'em. Sp “ya {mportants danxs-le seul | 6 1 de términer cette entreprise, Il : 'étilretiendra toujours la parie eons: Îte.
‘Le chef de 1 opposition est du même: vs et:eroit que Lx ligne sera d'ant L grand avantage à la colonisation.
" La résolution est ensuite adoptée à
E J'unanimité. +
Des députés héroïques «Les progressistes ont fait un geste auquel la Chambre ne nous & pas en- vors accoutumés, Le ministre des che- mins de fer venait de présenter une “résolution demandant la construction d'un embranchement du Canadien Na ‘ttonal, au coût de $9%41,000, d'Avonlea à Régina, lorsque le député progres- siste de Moose Jaw, M. E.-N. Hopkins, protestn avec énergie contre cette dé ——#peusé de près d'un million de dollars. sa :reeu plusieurs lettres l'invitant à +entourager la construction de tous les lembranchements, mais {} n'en voit pas utilité parce qu'ils sont souvent sans tout pratique., “Je dirai à mes gens, “déclare ti, que. nous -avons trop de Hgtes en trop d'endroits. Je leur di æèlque je considérerais commettre un crimèren approuvaut là construction Me-cette Hgne alors qu'il y a des gens qui devront encore transporter leur grain 40 ou 50 milles. - Je ieur dirai que s'ils construisent cette ligne jus ! “qu'à Régina ils auront sur les bras un autre éléphant blanc d'ün million. Nous en avons acheté six cents dans les derniers einq ans et hous én avons ‘assez. (Cette action ne m'attirera pas de votes: mais il n'est pas nécessaire que je revienne au parlement, tandis. qu'il est nécessaire que quelqu'un. dé- nonte de tels projets extravagants." M: J. Morrison, de Weyburn, et M. AA, Lewis, de Swift Current, deux dütres progressistes, s'opposent aupro- de: Cette attitude est assez extraor- rdimaire de la part de. gens qui sem- > ‘…1Meräaient plutôt intéressés à la cons- riruction de pareille lignée. ) Elle con- tredit les déclarations du président du réseau national sur l'urgente nécessité ide. l'embranchement.
Sans précédent :
jet Ja concurrence parfois extravs- |
TE
Demandez *ALOUET TE. : 10c le paquet.
ELLONTTENITIIP PECE EEE
8
ECHOS D'EUROPE |
Victoire pour Nr us radicaux
l'a fait dans les deux mois sd onboléshte.
M° Graham contre ta fusion
L'hon. George-P. Graham a fait la revué anituelle des ôpérations des che- mius de;fer nationaux: H a parlé de. rançais cette entreprise, qui engouffre, chaque. f année, des déficits considérables, avec Paris — Les da çdu second ur -optimisme-assez rare chez ceux qui | tour-de serutin-des-élections. munièt- ont l'habitude de parler de notre ré- | pales semblent justifier le pronostic seau ngtional. M. Graham s'est pro-| d'un suecès pour les partis de gänche. noncé assez ouvertement contre la fu:| A gueiques exceptions près, les grou- sion de nos deux grandes entreprises pes de gauche triomphent générale ferroviaires: c'est un monopole qui! ment sans grande difficulté.
Feffraie, D'ailleurs une étroite coopé- À A Dm ration entre les deux lignes, sous la irection de la Commission des che- A mins de fer, préviendrait, facilement, été càalme à Paris
selon lui, le dédôonblement du service !- ESA
Paris — Là lébration de la fête ! de Jeanne d'Arc, dimanche, a été ex- | empte des troubles graves que l'on redoutait dans les cercles officiels, grà- Graïam il est {ce au déploiement des forces policiè- res, le plus imposant que l’on avait ty àdresenit, le même jour, aux aetion- | VU depuis le 1er mai 1919. Plusieurs naires du Pacifique Canadien. - “Nous | chocgse sont produits entre les ma- serions très heureux de nous unir aux | nifestants et la police, mais personne admir'strateurs des chemins de fer!n'a été, sérieusement blessé. Cin- nationaux pour réduire, par une ac:| duante mille personnes ont défilé de- tion commuñe, en autant que l'intérêt:| vant les statues de la sainte nationale publie et celui des deux compagnies sur la place Saint-Augustin et la rue le permettent, le double emplot… Je de Rivoli, pendant que 5,000 hommes suis absolument en faveur de cette ac. | de ia. police faisaient la patrouille tion mutuelle, parce que je crois quel: dans Jes rues situées entre ces deux le est appuyfe par le bon sens; mats | endroits. je ne voudrais pas qué l'opinion publi- reprochent à la police ses violences que y voie une solution définitive au inutilès. Le général de Castelnau aw problème des. chemins de fer natio-|rait été mulesté pendant qu'il mar- naux”. Et M. Beatty ajoutait, détrui- | Chait à la tête dé la procession de fa
gante, L'opinion de M. Beatty
Des paroles de M. bou de rapprocher celles que M. Beat-
F L'hon. GP. Graham: déclare que | sant ainsi le rêve de ceux qui escomp- | Ligue des Patriôtes
t'est la première fois dans toute sa
carrière qu'il voit des gens de l'Ouest | sezux:_
tent; la fusion possible des deux r£: ‘Je suis convaincu que la gran-
s'opposer à la construction d'un emr- , Pranchement qui passe dans leur ter. “ritoire. Comme f n'existe pas d'autre procédure que celle de rapporter pro- grès, il demande à la Chambre la per: : Rission d'en agir ainsi. Cette propo-. sition signifie que le bill peut être renvoyé immédiatement et la Stpute
l tion s'esclafte. "! La Chambre a expédié plusieurs me- csures législatives importantes, com: ‘me la loi des pensions et la loi de În distribution des fonds de cantines, De blus, elle & approuvé el renvoyé au comité des chemins de fer Ia construc- tion de deux embranchements du Ca- nadien National, l'an à Turtleford, Sask., et l'autre à Bengough, Sask. En Quelques jours, la Chambre a passé blus de mesures législatives qu'elle ne
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vie Le a ke RL TA ETES CPAS LAN ane nds A ep PSP ABAANE ON ET EC. GA
que. vaticane du nou- | veau cabinet
de majorité des Canadiens, surtout des hommes d'affaires du pays, ne dé: sire pas que la compagnie soit fusion- née ou que son maintien soit menacé... Je pourrais peut-être ajouter qu'au cune proposition, quelle qu'elle soit, de la part de ia compagnie aw gquver- nement ou de la part du gouverne- ment à la cornpaguie, n'arété faite, sauf celle qui a trait à la réduction du’ gaspillage économique par l'élimi- nation, en autant que faire se peut, du-double service de chemin de fer."
Paris — M. Briand, ministre dés Af- faires étrangères, a reçu Mgr Cerretti, nonce apostolique, et Jui a expliqué le point de vue du gouvernement fran- ais dans la question vaticane. Il lui a confirmé et développé les termes de la déclaration du gouvernement sur le maintien, À Rome,. d'un représentant hautement qualifié.
_Ajoutons que’ dans les milieux, bien informés, on croit généralement que M. Doulcet conservera son poste au- près du Saint-Siège. n
ee ——
PARIS — M. Barthelemy, doyen de la Faculté de droit de Paris, qui avait
——— —t D © , été suspendu à la suite des ifieidents “à Lg universitaires du Quartier latin, s été | LS piétons sont en danger réintégré dans ses fonctions. dans les rues de Rome
À
Rome — De nouveaux règlements de cireulation :sont en vigueur dans les rues de Rome! à laccasion de l'Année Sainte, qri dimimueront les dangers pour les piétons. (Comme on le- sait, c'est à Rome que l'on trouve les chauf- feurs les plus audacieux du monde, Ainsi que les trottoirs les plus étroits de toutes les grandeë capitales.
A Paris, Londres et New-York, les piétons sont toujours assurés d'une certaine sécurité, Mais à Rome, leur seule protection c'est de se précipiter sous des portes cochères pour ne pas se faire écraser. Beaucoup de squares et d'artères dans la Ville Etefnelle
n'ont que de semblants de trottoirs, du pas. du tout. Sur le Corso Um berto, qui est l'endroit le plus fréquen- [té de Rome, les trottoirs sont juste assez largès pour tré” À trois personnes de matcher de front, alors # NN:
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Les journaux nationalistes.
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La fête de Jeanne d'Arc al
que sur ; ja Via Condotti, qui n'a que 20 pieds de largeur, il n’y a que deux ridicules trottoirs. La Piazza di Spa- gna, le ra centre touristique de la capitale, ‘'a aucun trottoir et est un danger perpétuel pour les piétons. Malgré l'étroitessé des rues, les taxis romains, qui sont les plus luxueux de Funivers, sniopient la ville à une vi- tesse vraiment désespérante pour les passants. *. ———— 4024 2— Londres et le Vatican
Londres — Profitant de l'offensive sectaire du cabinet Herriot rontre le Vatican, et rappelant les difieultès du Saint-Siège avec l'Argentine, un cer tain nombre de protestants qui, pour occasion, s'était attribué emphatique- ment le titre de Concile des Protes tants Unis, avait imaginé de faire pres- sion sur le gouvernement britannique atin qu'il rappelät de Rome la léga- tion anglaise. Le porte-parole de ce groupe n'était autre que lord Gisbo- rough qui avait précédemment tenté d'emipêcher la visite des Souveraîns anglais au Saint Père, et qui s'était, de ce chef, attiré le blâme de l'opinion. I1 prétend que les élations entre Lon- dres et le Vatican sont une calamité.
Le gouvernement britannique a de:
l'esprit. Le ministre des Affaires étrangères a fait, répondre que, dans l'intérêt général, on ne peut, quant à présent, interrompre les relations ac- tuelles. LE ——— 027
L'obus à parachute
—qpopmnprs
° Londres — Le fils « de l'amiral an- glais Takage a inventé .un curieux obus pour empêcher, eff cas de guer-
e, les aéroplanés ennemis de survoler- Fire du pays. En éclatant, cet, obus libèr
un parachute qui se déploie. et forme un. immense filet. En réglant le tir, on pèut ainsi à diverses altitu- des et sur une nde étendue former un champ np À ee avions st- ront dans l'impossibilité de traverser.
—
Mort du père de l'aviation
Toulouse — M. Clément Ader, co sidéré en France comme “le père de l'aviation”, est mort, à l'âge de 84 ans. I était né à Muret, l'année dernière, des fêtes en son hon- neur.
Clément Ader exécuta le premier,
en 1890, un vol en monoplan. ee 2.
Léon Daudet candidat au Sénat
Paris — Léon Daudet annonce qu'il
éerä candMat au giège sénatorial de siège est devenu vacant à la suite de la mort du séna- teur Jules Delahaye, royaliste. On sd-
Maine-et-Loire. Ce
met généralement que le chef royalis- te a de grandes chances de succès.
Gouverneur de l'Algérie Paris — M Meurice Viollette, dé- .puté d'Euré-et-Loir, rapporteur géné- ral du budget, est nommé gouvernéür
général de l'Algérie, en remplacement de M} Steeg,. nommé ministre de la
justice.
AA ANA OR 4 /
pet pti
où eurent lieu,
“1 À 4 dr pe me Re taie ans
|
|
|
ques.) 50,000 ça les | eation des lois antireligteuses Le P. Zimmierman à fait dt critique du ta | éisme qui est antiscientifique, antinn:° rtlonal, antisoctal et antimoral,
Toltgen. ur'on nous tresse des couron- "us sarl .| hes môrtuaires avec des fleurs dé rhé: k
— À Nésty. S AN Re T ont açélamé | ‘catholiques el exigé l'abro- |
oder Pur
DATI LUE TE | Architecte. et.
“Nous” n'acéeplons pas, ‘4 ait Me
À LEA
torique. Dans nos foyers et dans la, patrie nous revendiquens le droit ,de nous conduire en ckrétiens.”
M. Louis Marin a remercié Îes ca:
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brogation des lois Jaïques conformét: ment à la déclaration des cardinaux e4 archuvêques, je respect des droits do t'Eglise, des religieux æt des ci: toyens catholiques, le maintien de l'am:,|. bassade près le Vatican et l'observa- tion. des promeses faites à l’Alsace-1 Lorraine.
A Digne, le même jour, la Jeunesse catholique des Basses Alpes à tenu son Congrès sous la présidence de Mer Jorcin. Le soir, l'Union diocésaine te- hait son congrès.| 2,000 hommes ap- plaudirent MM. KRipert, Xavier Valat etle chandine Desgranges:; ils votèrent ‘avec enthousiasme l'adhésion au. pro: gramme de la Fédération catholiqué.
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RE TD he > does cénadt de ndés adresser La dute parole de Xôtre-Scigneur à la Chananéçe:
a sam votre maison la réponse de l'admirable païenne : les pelits chiens fahgeni sous la table les ae des enfants." 2 Faites done bien chiptondie »" vos pède garçons” que .œæ que leurs petits frères de l'Ouest demandent ce n'est pas toute la miche, mais les miettes seulement qui tombent 2 leur table et vont se perdre chez notre grand voisin.
Dites-leur done que l'Ouest canadien est hne partie … leur patrie ct que ces mieltes données à leurs frères de l'Ouest serafent utiles à leur pays et à leur race. De grâce, maman,
cv achetez-leur des vertes qui corrigent leur nr de Savez-vous ce à quoi ces grands frères me font ER A nos, pauvres sauvages sur leurs réserves.
Conseillèz-eur, si vous avez encore tn peu d ’influenèc sur eux, à se joindre à “La Liaison française” et à venir nous visiter cet été. Ts verront de leurs yeux si vraiment nous som- mes des frères dégénérés ou des gueux, des galeux ou des noyés en putréfaction. Tâchez surtout de nous envoyer cette année le -Grand Chef d& la Réserve, Elzéar. S'il objecte que le voyage. cét trop dispendieux, ditcs-lui que'son petit frère Baptiste se charge de lui acheter son billet; on a de l'argent ici dans l'Ouest. Préparez-ui un petit panier de provisions.
Pas grand'chose: quelques galettes, une tranche de froniage, une couple dè pommes; lout juste ce qu'il lui faut pour tra- verser kés roches d'Ontario. Ici, on ne de laissera pas créver de faim, an a encore de quoi à manger poür nous et pour nos visiteurs. L'an prochain, vous nous énverrez Arthur, Fautre Grand Chef, celui de FOpposition, aux mêmes conditions. On
ne tient pas à ce que vous les envoyiez ensemble. Pour le
, moment ils semblent s'entendre assez bien, mais il ne faut
-pas trop s'y fier; loin de là maman ils pourraient reprendre leur querelle, et ça ne serait pas beau! Donc, bonne maman, envoyez-nous Elzéar cet été. Qu'il amène avec lui son garçon, eclui qu'il appelle “ministre de la colonisation” !!? On les pro- mènera partout en automobile; on à des automobiles ici, des automobiles payées comptant! no
Connaissez-vous, chère maman, là petite histoire que Je Hisais tout à l'heure dans un journal'que vos “grands garçons” we lisent peut-être pas assez? ils savent lire, pourtant! La
voici: Michel rappelle à l'ordre papa, qui donne un gâteau à Tac, le chien: Oh! papa... vous lui donnez du gàleau ct
; ; + vous ne n'en donnez pas, à moi! pourtant, je suis
EE moi, bien plus votre enfant. ‘- Eh bien! maman, je ne voudrais pourtant pas être irres- pectucux envers vous, -— je vous aime trop, -- mais je ne-puis m'empécher de vous dire comme Michel: Oh! maman.:. vous dounez des miettes de gâteau aux Etats tt vous ne m'en donnez pas, à moi! El moi, pourtant, je suis bien plus votre enfant. Votre enfant affectueux, Baptiste L'HABITANT. Loonai 1925.
\ i
Faunnystelle, Man.
P.S Dites à Elzéar et à Arthur de ne pas dire trup de béilnes : en Chambre; ça parait bien nial!
»
pas réussi, 1] sgrait vraiment étonnant qu'il eh fût autrement. Nous
u'ont
IMMIGRATION E AU ON El s + 4, ignoroïs de quelle partie de l'Ouest COLONISATION veu: parler M. lg Ministre, Pour ce qui regarde le Manitoba, le recense
ment officiel nous fait passer de 31,000
Position et conduite du Qué- la 41.000 dans les derniers dix ans, et bec depuis 1871 en rerard ia population française au Manitoba d est'en grande partie rurale. Que iques-
_de Ja lettre collective des
tait fatihite. nous He À mais entier
évêques
le
+semble avoir gentiment gardé ses positions.
groupe
| pas,
A. le Ministre veut bien nous promet tre l'apyrui de Ta presse de Qué- pour rendre publié le d'une petite enquêté, nous sommes ts À lé faire. Nous croyons. pour ui démontrer qu'à côté dequel- ques-unè—qui-m'oft pas réussi un grand nombre ont amussé de jolies fortunes et ont réussi à ‘établir leurs noubreux enfants à la campagne, alors qu'ils étuient des victimes toutes désignées pour ! ‘migration aux Etats- Uvis fussent restés, À Québec, duns conditions où ilké,se trou-
Mon. voisin a bâte le Québec a fait de de cètte ligne tracée Nossigneurs les évêÿues en 1871, à point de uatiohal “Perti mx", dans le numéro du 8 avril derui lut répondre:
“M. le Ministre dé Que bee 4 tuut, laegroissement de la popiation de sa province. Qui pourrait l'en blé mer* Son désir n'est-il pas léæitlin)
“En théorie pratiqte.
de su
cette ati
Si
de ronduite bec
vue Fr, VAR la colonisation
de
voudrait garder che lui
,
rien de plus juste s'ils
ve. sera ‘un désastre les
ahéolumeñt la position prise, il y ü|väient pour l'établissement de. leurs
plus de trente ans, par feu JP. Tar enfants |
divel, de son vivant rétfäiéiéur de la “Pour nous résumer en deux mots,
“Vérité” de Québec. Avec la meitleu-! nous disons qu'en théorie M. le
re foi du monde, nous n'en doutons|nistre a peut-être raison, anais nous
pas, il S'est opposé à la politique dr craignons qu'en prarique, sa politique
colohisation préconisée par les évè.|soit un désastre: pour le groupe fran-
ques de Québeë vers 1871, çaïs au Canada.” . “Fortifions Québec! disaient. M Tar Malheure usement pour Je Canada
divel et ceux de son école. Enfthiés | français, à tous points de vue, cette
rie, c'était. parfait; le plus pur patrio tismie trouvait Son compte à pareille « position. En pratique, elle a eémpéeh une: nouvelle province de, naltre à l'Ouest ef les gens de Québec, laissés sn#s direction efficace, sont allés aux Etats Unis par centaines de mille, pen- {title “Pertunax” cit® plus. haut, “il dant te temps. N'est-ce pas le eus | n'y u pas de pires aveligles que ceux de dirs que parfois le mieux est l'en | qui ne ventent pas voir. Les chefs nemi du bièn”? | | politiques de Québec persistént enco “M. le Ministre de la colouisation | re à ‘empé cher les sens dé Québec d'al- de Québec dit qu'un certain nombre ler s'établir Man l'Ouest: de cuit!ratèurs de l'Ouest n'ont frs Copohiant le derniet numéro de mass, Q veut. . Les diffienttés | Action Française de Montréal nous Lino. Qui Ont lait partir les | ra rassure à ce sujet. Faisant allusion à cultivateurs de Québec à raison.dç| l'article de la there précité, elle vingt mille par aunée depuis quelques écrit: ! annéés, ont en quelque révereussion “Qu sy plain de-l'obstruction faite dans l'Ouest, et. un certain. nombre | en Nagt lieu à Fémigretios des Gas
opposition de la purt d'un certain nom bre de nos co-nationuux Aa peérsisté avec tenatité et une persévérance di- ges d'une meilleure cause. Et, nous rapporte le Droit d'Ottawa, numére du 23 avril 1926,.en commentant l'ar- d e
te
est
#
.4 : dl
“Laissez d'abord les enfants .se' rassasier.” Nous nous oppo-|* me A eo ME gb à ce que le trop-plein de. Québec | ke 8 ie à ronde
catholique. ls paieront peut -être bien cher ce manque de clafrvoyance et cet
‘affront à In jéstice publique.”
Ceël était écrit en 1911, par consé- qüent il y a déjà 14 ans!
Mäis laissons ‘de côté ces divergen: ces d'opinion sur un sujet et dans une question où il re deyrait y avoir qué fraternit® et entr'aide, pour résumer d'un mat la mentalité qui a eu cours e: certains milieux pèndant trop long- temps et qui a”été un facteur -de mé- fiance, de divisions et de déroute na- tionale. Cés faits ne sont pas imagi- haires, encore moins imaginés, ils sont vécus! Puissions-nous dire bien- tôt qu'ils ont vécu! |
Si nos gensgs'en, vont aux Etats, c'est proche, voyez-vous! (l'Ouest, c'est si loin!); s'ils y font de l'argent ils reviéndront tpardon, ils y reste- ront volontiers; s'ils n'en font pas, fls y resteront de force); et la dernière raison, soi-disant tombée des hauteurs de la citadelle de Québec il y a un mois à peine, c'est que “nos Canadiens de l'Ouest sont perdus comine eeux des Etats-Untis'” Merci du compli- ment au noîM des groùpes français de l'Ouest et de nos compatriotes de l'au- tre côté de la ligne 45me. :
Mais il y a plus. On a dit: ‘’perdus”. Oui, perdus cdux des Etats, parce
‘qu'ils nb sont plus dans le Canada:
résultat
Mi- | nière | expédié en
pérdus et pour de bon à l'influence française en ce pays;.et au point de
vue politique, ils ne nuiront plus tan- dis que les ‘autres qui vont dans l'Ouest, ils vont étre contre nous, de l'Est. 5 +
Voilà ‘ce que l'on ne dit pas tout haut, mais qui fait comprendre pour
quoi on s'oppose au peuplement de l'Ouest par ceux de notre nationalité. Notre ami s'étant déclaré stupéfaît, mais ‘satisfait des explications dôn- nées, nous hui ferons voir les résultats désastreux de cette politique de divi- sions, de divergentes de vue .qui ont amené l'opposition d'abord, l'obstruc-
gue française, dans l'Ouest.
LE CANADA ET L'ALLEMAGNE Le commissaire du com- merce canadien à Berlin
montre les avantages du marché allemand
Montréal -—- “L'Allemagne est des grands marche du Elle vient après les Etat:-Unid et la Grande-Bretagne. Le Canada a en n un marché qui s'accrdit rapi- com a déclaré M. L-D. rene: commissqire Canadien en il emagne.
“Les ekpôrtations du Canada à l'A lemagné ont atgmenté dE près de dix
le
nada.
du conmer
“fillions de dollars en valeur, ä& ajouté’
M. Wilgreës, au cours de la derniére année fisealé, L'année dernière, F A lemagne a acheté des produits cana- diens pour une valeur de $25,000,000.
“La popularité de la farine canadien: ne augmente de plus en plus chez les Allemands. Nour tr avons une bonne preuve dans le fait qu'en 1922 les Alle mands ont acheté 50,000, barils de fa rine du Canaide, et que l'année der. les meurertes canadiennes nt Allemagne deux millions de batils:’ Les produits agricoles d» Canada se vendent aussi de plus en vlus sun le marché allemand, et ils sont tellement demandés que les cf tivatenrs teutons sérieusement alarmés de ce'te vcencurrénce." : |
Lnterrogé au sujet de la Russie s6- viétique, M. Wiigrc.< a déclaré sim plement: ;'Les perspectives commet. clales avec ce pays sont très problé- matiques,"
a
- . L'‘‘Evangéline” |
Notré confrère l‘‘Evangéline”, \ de Moncton, a récemnient subi un incen- die qui lui a causé des dommages eon- eidérdbles, eh «même temps qu'il l'en. péchhit de paraître la semaine dér- nière sous son format urdinaire
Nous sommes ‘heureux d'apprendre que l'incendie ne ‘cémprometra. ni Y'a venir du journal nf sa publication ré- sulière,. Ù mm re
sont-
dt em ee
eur DUPONT PE PE RP AR ÉpaS Ae 1 Ame” a A a RE de TE ré RSA or La scsimbrs
Er lisons dans le Pr ntiméro
de i"Artion Franéaise”, de M
“Nous sera-t-il permis de relever, en passant, un récent articlé de la Li berté de Winnipeg? L'on s'y plaint de l'obstruction .en haut 4m à l'émigration des Canadiens français d u Québec vers nos provinces de l'Onest. Sauf peut-être en quelques milieux LUE
vis qué cette obstruétion n'est ni ab: solie ni, malintentionnée. Noùs son Mmes tous d'accord sur la nécessité de
constituer un Québec hissant et de bnpsauc= le direcieur, lui garder en conséquente le plus de --Jé vois dans nos journaux locaux Mais, | que M. Sauvé, chef bleu à Québec, et éotte réserve faite; noug de 1“Action | M. Perrault, française” le rédisons une fois de plus | tendu que Îles Canadiens français de À nos frères de là-bas: plutôt que de | l'Ouest, comme ceux des Etats-Unis,
population française possible
voir un Canadien français de nos Camt- pagnes prendre là route des Etat#
he comptent point, nous sominés d'é- Une insu Bux aux ‘éunatèei
a inis,
Pour voir si sur la terte, 6. prodige: Ô merveille! -
ls ‘ont encore quelques amis. ets 3-W. VILANDRE,
Sous-agent- des terres, ET PAS ra Abitibi.
‘français de l'Ogest
ministré auraient pré
sont perdus pour la race. - J'ai peiné à crotré que ces messienrs
Unis ou s'en venir accepter, dans nos | péttssient sincbrement soutenir parelllf
Yilles, un rôle de manoeuvre inferieur,
affirmation, mais il nous faut bien en
nous préférons de beaucoup le voir | venir à l'évidence. Quant à nos Fran-
&'établir sur une bonne terre de l'Ouest, au milieu de ses compatriotes.
co-Canadiens passés aux Etats-Unis, je crois être assez bfen renseigné sur
lintéréssons de leurs conditions d'éta- impuissants à suphiéer en
C'est notre sentiment et nous croyons | leur situation pour savoir qu'ils sont que ce sentiment est partagé par tous | à peu près perdus pour le Canada, ceux qui se donnent la peine, dans le |-mais non pour la rate, éar en certai- Québec, d'étudier nos problèmes na-|mnes contrées surtout ils sont très bien tioniaux. Ainsi posé, le problème de organisés.
tion ensuite à la ‘colonisation de Jan-
À se trouve
l'émigration du Canadierr français vers l'Ouest a chance d'être entendu com me ici par, ‘hos compatriotes de “bas.
Pour notre part, nous sommes. prêts À Canada, qui avons conscien
leur prêter main forte, si nécessaire, afin que le problème ne soit pas autre: mént entendu chez nous. De toute facon, le Québec_ne dait pas marchan: der l'appui qu'il èst en son pouvoir d'accorder à tous nos frères lointains. Et il sérait malheur2ux que d'iñnvolon- taires malentendus missent de la-dé- | fiance où il ne doit exister que de ia fraternité et de’ fentr'aide.” ;
sr +) HOMMAGE A UN VIEUX PIONNIER
On nous écrit:
Abitibi, P. Q. ler mai 1925.
Uniacke,
| | | [l | l | | | | | Monsieur le directeur de la Liberté, | Winnipeg, Man.
Je viens vous demander l'hospitalité l'de s colonnes de votre intéressant jour- nal que j'ai lu six années durant mon séjour dans l'Ouest. se
Je veux dire un mot à l'occasion d'un pionnier dé la Rivière Rouge de l'année 1878 qui vient de mourir ces jours derniers à Saint-Joseph, Man. J'ai nommé M. Ambroise Sarrasin, né, à Saint-Barthélemy, Co. dè Her! hier, P. Q. Après un demi-siècle d'absence, il un de 8es concitoyens, colon comme Ini, mais dans 'e ‘nouveau Qué- bec, pour lui rendre un hommage pu- Die vis-à-vis tous ceux qui Font connu.
Ce qui donne raison à la prédiction un de-nes plus-grandes hommes disait: de, Qué- donner la main à ceux de Winni- peg (Sir W.' Laurier) Ce ‘homestbgder”, après un séjour de PT à Woonsocket, R. 1, fit le long parcours avec sa famille, eul, à pied, à ï milles de Winnipeg.
“Vous verrez les gens bec:
Plus turd il fit vhnir, 19, 20, 30 et plus de ses parents et &mis qui sont tous au- jourd'hui des ie is prospèéres. C'6- tait du patriotisme en action plutôt qu'en paroles; il travailla à la gran deur de ja natiès. à l'augmentaifon de nôtre influence religion “ politique et nationale. Cultivateur vient de qui lui à donné
des adieu
plu il
80!
Drospéres, dire à la terre,
ce
le salmi Soi franc
ét sans, dol du Canada, Ja terre où il | dort maintenant de Son dornier som nef
1 a su assurez à ses cnfantt du soi wanit vhain les ‘moyens de vlure, de j'a sh'ir et de prosmérer J enjoni sation a''été d'oonvre inaf rence pour li, l'intérét dans le”trevail étunt j déat qui l'animait couétaminent. ’
À noûs d'inditer el de recrue héritage national de nos ancions vx plorateurs qui ont écrit une page 1: morable dans les annales dn pay
‘Nous leur devons admiration, pare” qu'ils ont fait honneur à la race, : leur famille canadienne.
. Comme un autre Rivard, M
la tranchée de lu noble/chanson fra: caise,
À sa mémoire je rédis ces vers:
Demäin ser leur fé'e à ceux As dans LI terre 1
errors dre
Ce que je veux réfuter surtout, où plutôt relever, c'est l'insulte à nous, Canadiens français de cettetpartie du de tra- -vailler ici à l'extension dul rayonn£#«, ment français et catholique.
Ces honorables messieurs considè- reht-ils que la race française A sa ré- serve marquée au Canada” Si oui, Hs sont bien BNC histoire, plus
même “que le moindre ‘élève de nos petites écoles: ignorent-ils par qui ce gfand Canada à été éxploré, évangé- lisé, civilisé, colonisé, et qu'en plus de si Érands droits. naturels, nouÿ avons un droit légal confédératif, ces prérogatives nous rendant parfaite- ment chez nous partout dans notre belle grande patrie canadienne?
Eh bien! je considère que nous som- mes chez nous dans l'Ouest, en Onta- rio, sur les bords du Pacifique comme de l'Aflantique et comme dans Qué= bec notre berceau,
Devons-nous et pouvons-nous tous rester au berceau? 11 semble que com- me il faut que Je fils se détache de sa faniille pour en fonder une äutre, de même des rameaux du grand arbre français québécois doivent s'en déta- cher et aller prendre racine-un peu partout dans notre Canada, et étant soutenus, aidés, encouragés, comme le fils de son père, ils se fortifieront, * grandiront pour la gloire et l'honneur de l'Eglise et de la racé.
Vous pensez sans doute, messieurs, que Quéhec est grand en territoire: non peuplé et que ses “ressources sont im- [menses; mais ceci ne justifie pas l'idée de nous confiner toujours dans ses, 1f- mites, bien moins celle que nous avons renié_ nôtre race en en étant sortis.
atte le Canada est un pays de Cocagne. üne terre d'abondance, nous nous dés- |
blissement; ils ont avec, nos institu+ srrue tions ét nos lois d'étranges expérien- |. Modé + n : ET ces; nous les laissons souvent exploi- rpm ge a à ter par d'anciens compatriotes à eux | Au'un Journal écrive al établis au Canada dépuis longtemps | lérinage, membre de et at] les filoutent de toutes sortes de train laisse. exhorbitant. nous. =. ref, nous modelons notre] AU regret, Marseilles, Base, conduite envers enx sur celle - des] NOUS nous sommes donnés la DE Etats-Unis à l'ebdroit de millions de pendu sper à bre Le 2
gens ‘qu'ils Sont allés chercher en Eu-| C'eFS, l0n
rope pour grossir teur populatiqn, tour. | suit de Là. 11 va s'en dire, po "üir de la maind'oew
à leurs industries, as ensuite comme dés intrus, Se soin”, cent de dénationaliser, sous prétexte de ces horreurs, on vent tout ea qu'il faut en faire, coûte que coûte, Trou décrire le soleil Jevant sûr
des Américains. afauds ou le dernier banquet
Nos gouvernauts peuvent ævoir eu Bree + Servi a4 hévieek de, tort d'inviter dans le passé des gens de par ss meer oaloqs: cette catégorie À venir se fixer au Ca- nada. On sait quels déboires.ils eurent d'abord ‘avec eux et quels incidents, les uns pénibles, les autres risibles, survinrent, aux premières aûnécs de l'établissement des Doukhobors dans les provinces de l'Ouest. Mais une double conclusion s'impose, mafnte- nant que ces immigrés, avec d'autres, se sont fixés définitivement chez nous et que .hious’ en recherchons d'autres, d'origine européenne: nous avons Île devoir de: traiter humainement ceux qui nous sont venus, de les ainener à obéir aux lois justes du pays, mais
par dés moyens dépourvus d’opiniâtre- ité cruelle et de brutalité; notis avons aussi celui d'accueillir et dé protéger au débarquement et pendant la pério- | de où ils cherchent, à ‘s'établir cfez: nous ceux que nous attendëns et qui nou$arrivent, deja par milieré |
St pous voulons en faire des Caña- diens, commeneons par leur inspirer à l'endroit du pays et de ses lois de l'affection plutôt que de la méfiance et de la crainte.
i la L
La Tribune (Wodusocket, Î. 1):
- On ne peut ‘comprendte, ra HE n'est pas Français, l'apparentà con- tradiction qu'offre la France aCtous. ‘ceux qui l'observent: un peuple fon- cièrement ‘catholique qui se évmeren uvernement antireligieux. sé * :Voiei une très judicieuse expliéation . que nous"fournit im étranger:
“Un étranger, récemment € en France, a fait à un Français da con- fidence süivante:. or .— J'essaie, chaqîte diftanche,. d'en- trer à Notre-Dame pour entendre les |: sermons du <arôme, et je :vois-wrie
ÂMES NX
A Lu
n'y pénètre que fort’äffficilement, ft l'on parte ‘de rttliers de personnes 4 n'y” peuvent “ehtrer du tout. - on n'a vu paretlle affliënce. 11 à fatta établir un servicé d'ordre. On se: :bous- cule pour entendre parler de Dieu. C'est magnifique. Et ce n'est pas seu- lement dans vôtre cathédrale que se produisent. de tels spectacles, c'ést tn Il faut travailler toute sa vie | peu partout, à qi et en province. à s’instruire. | 1] y a chez vous ure poussée de reli- , 1 | glon extraordinaire, Soux: WErmpire, Re Progrès du Sagnenay (M. Eu. _avahd vous aviez des ministres dévots, L'Heureux}: le peuple français était fort incrédule, Ce n'est que le début de l'instruction | si j'en crois les romnncterh, les mémo: qui s'acquiert dans les écoles. Les } rialistes, lès phil osophes de cette épo- professeurs, instituteurs et institutri- | que; et maiñ ‘que tous vos sou. ces enseignent beaucoup de choses, vernants sont des athées, vous allez c'est vrai, mais’ leur tâche principale | vous.prosterner devant les autels avec consiste à mettre leurs élèves en me-|'une ardeur qu'on n'a pas vue depuis sure de s'instruire eux-mêmes par leur | le moyen: -ige! Comment cela se fait11? travail personnel. C'est ainsi que l'on L'étranger a encore constaté que les s'étonfe, parfois, de rencontrer des | collèges libres, c'est-à-dire les établis: hommes de.30 ou 40 ans qui n'ont frf- | seménts religieux étaient les plus fré- quenté que l'école primaire et qui ont | quentés. uñe culture générale plus éteudué, sur- |.coûte plus cher, puisqu'ils ne reçôi: tout beaucoup plus généreuse, que cel- | vent rien de l'Etat. Et ils ferment des le de nombre de professionnels. Ce | carrières officielles. L phénomène tient bien moins au talent |. 11 y à encore un autre fuit: les jour- qu'à un judicieux maniement”des. ar-| naux les plüs lus sont les nn pe mes rapportées de la petite école du ! conservateurs ou modérés. village contre l'ignorance. Et le Français A répondu: la faute aü suffrage universel,
a —
“C'est
Ceux dont on s'explique mal, à pre avec
Le Canada entier nous réclame, il faut que l'influence, la bienfaisance, comme la-beauté dela eulture çathblique et française rayonne partout, et ce doit être notre rôle assigné: par la Provi- dence. eu imiportent les persécutions que nous subissons.parfôis de majori- tés hontiles, ça ne nous est souvent que d'un heureux stimulant.
Que sn ent donc ces messieurs -de nos ergani ations diocésaines, sous de premiers pasteurs comme -Nossei- gneurs Mathien, Béliveau, Prud'hom- me; de no“
e l'A. C.F {'orumissaires
patriotique. ç
sociation dr Fa
Cunadien: et l'futerprovineial:, pour ne parler Ge de la Saskatché wan”? | De notre orruuisation éducative
comprenant les collèges Mathieu, Gravelbourg. 1 .Saint-Boniface et d'Edmonton”
Aussi de noire crsanisation de-ptes se se française: le Patriote de l'Ouést; 1: Liberté et l'Union?
Je conseillera:: : | venir visiter ms« centres français et | «étudier sut plaes-potre situation à | tous les points de ‘1e, Avant de porter
oûtre nous wn arrêt de ‘Mort À la définitif.
1: Fh-hient Mons our le directeur, je n'ai aucunttalent eh composition: je
de |
à vos messieurs de
| Ce" 1
“ipte sur l'indutgonce. de vos Jec-| Sarru lrtetsé et la vôtre, je n'ai voulu que dé $ . mise à des corrèctdions trop hâtives, la sin a voulu ouvrir un chemin dans ve prairies, édifier Is vieille maison Sir aussi à (oës nos vrsfs patriotès près | pour son bonheur où pour son malh m
pièces dont glorifiaient. nos père Nobies cokns que ceuy qui ouvr-:*
vontier à ces ‘“Patriotes bernés”"
l'diens, que aous prétendons, ici comp- tot sosime soldats franco-catholiques, ont eu essumant le rôle Faure
Jartisans de la terre. } ‘Je me souviens”, ‘Dieu et Ja Pa- trie toujours.” e gl
Eugène DURET. Ormesux, Sask. 24 avril 1925,
4 ds
+
crganisations ones
mère vue, l'étendue ; cès, ce ve sont pas des hommés qui se sont cantonnés dañs leur profession ou métier, restant étrangers à tout co qui se dit ét se passe autour & eux: ce ne sont même pas ceux qui ont lu as- sidûment le journal du parti politique auquel ils adhèrent sans trop savoir pourquoi; mais ce sont les individus sortis de l'école avec. la noble ambition de continuer à s'’instryire; <e sont ceux qui vont entendre les conféren- Îces publiques; cé sont ceux qui lisent les journaux —— en donnant la préfé- rence aux plus sérieux et auk plus * | désinté ressés — ce sont ceux qui s'a- bonnent à certaines revues instruct{- ves et cducatricss, telle qne le “Cana- da français”, l‘’Action française”, la "Revue Nationale" et autres, ce vont | ceux, enfin, qui n'ont pas peur diou- | vrir un livre et de le lire de a pre mière à la dernière page.
hommes, sénateurs, préfets, conseillers, etc. conduisent et tiennent en laisse quarante millions -
ministres, députés,
de Français. Ceux là détiennent 165
places, dispensent les faveurs, répân- dent les subventions, _ veillent aux avancements.. ÆEt sur trois Français, il y en a deux qui ont besoin de ces gensla? Que vouléz-vous qu'ils fas- sent? (On n'est pas. des héros.) Il'faut bien Vivré!,. Mais retenez qu'un. fu- ‘roncle sur 16 pez ne représente pas visage, non plus que l'écume ng rene sente la mer!"
———— 4 7 ©——— —
Los mére AN PÉD6 ds
ing
La législation soviétique a dot: roment simplifié les formalités ät ma- riage. Du-mariage civil, Lien entendu, car il ne saurait s'agir, pour des boi-
. du * cheviks, du mariage religieux... 1! La langue et les journaux | Un de s0 marier n'a -canadiens-français
Le Droit (M. Victor Barrette): 14
Une lecture observée de no8 jour- | naux et surtout : de nos ‘ publications l'ptbulaires ne présente pas À l'accou- | tumée l'atirait d'un florflége, pour bi- | uiiolhéaue de luxe, Rapidement con- que, aussi vite coulée en plômb, sou-
. Au de'votre ner pen c'est tout. Les flancés sont galement mariés et il ne leur en qu'uu-roublé;
lis pourrogt. d'ailleurs, divorcer a la môme facilité, 1e semaine si cela jeur-fait pla H sûthra retourner au méme bureau LA
phrase journalistique réste,-en pl
sous l'eunpire du typo. Or ce dernier, en notre pays, singe go méthodes américaines, se contente de suivre la
Et pourtant l'instruction y:
D.
». 4
telle foule assléger Tes portes Qué Je |
à
r—Ærote-mitle———
+
D
Us par tout le monde: était heureux + son Sontiéus.
Au:
iron it “mam'ze re
Mmuts élajent ‘ten-
ps d’une
is ons et ornés de pour Ja Fête-
7 bétäit en pléin OT œuis c'élail une cuisine, Joyale, | ‘on. poesie prie confec-
prem les parfums, mêlés, n'avaient rien de désa- bot, dont la ta € MM rire Ja ban-
#7
LiFRES
#
yeux bleus et sa bonne humeur ui re mn: nouvelle fa-
a ne
é monde
tte g Fe Je se an — Eai-slle
Le
ntille, tout de use ! Ca-séra
à , elle passait au 1 marée ÉTAT D PRE EE — C'est ad, üi vous le dis, mes petiles, cet -là fera
€ honneur à la famille. Il vous regarde tout droit.
: += Parbleu! la mére, c'est qu'il; a trouve. à son goût | US les drôlié
resplendis-
qu'il .paraïl qu'i ier.
“4
Le
ne femme, qui ne connaissait
es. étaient épo- | TUE les poissons de rivière.
,sbelle
moment s'asscôir, la mère
tayère des Grelets, ei s oftrir
pour aider.
— Mère Mâlo, on vous a invitée pour déjeuner avec nous et non pour
+— Je n'dis pas node Mohieur Le Stéphane -mais je ‘miangerai
plus tard. Je suis venue pour
dider: j'veux aider.
seulement ce qu'il y a à faire.
En Berry, on est aussi tétu
qu'en : Bretagne, Il
qu'à mettre une serviette sur le bras de la mère Màlo en priant tous les saints de la protéger et
| Wonder Oil
Quand
semble
quand
le dos
porte
Chaque vit
dre et que vos pieds ne vous sou- tiennent plus:
muscles font. mai et que chaque mou- vément vous cause des douleurs dans
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soulagem
35 sous ln bouteille ches votre Pere een ou votre mar- hand.
— Oh! ce n'est pas difficile, mère Mälo. Vous vous penchez à la gauche de chaque person-
Îles en Fe la fois
pee 2 La mu- ue, el vous tendez le plat en di-
sant’ inoitié haut, moitié bas: “Turbo!l”, — Turbot?
uise”, …
‘Fon allait
416, La mé: puis, selon les personnes: ma-
dame qe ronge
— ’idée;; mur À Ta A en Beusehbe lue épaule. FT 19
LR De | servir. s lx consi ce est la con- » et'éle n OR deriän
d'autre explication. Dans ce temps-là, à la campagne, l’usa- g des menus n’excluait pas l'annonce des plats.
—— Pag #ù que j'commence ?
— Par ici, mère Mâlo, par le père du. marié, et puis, vous continucrez sur votre gauche jusqu’au bas-tout, où l’Ernesti- ne arrivera en même temps que vous, par son côté. D'ailleurs, je vous suis avec la sauce, ce sera pluscommode.
— Süûr, acquiesça la bonne fernme, qui préférait avoir une main libre,
Et ‘la narine frémissanté l'oeil satisfait, une légère rou- geur aux *joues, elle s’élança vers les convives.
“Entre haut et bas”, lui avait- on recommandé. Mais aux champs on n’a. point l'habitude de cacher ce qu’on dit., Aussi ce fut d’ une voix de comman- dement qu'elle présenta son plat au père du marié:
— Monsieur Turbat !
Dites-moi
n'y avait
votre tête près de fen-
tous vos
ou le eou,
un prompt
Ha
$Sé tourna à deii, sourit avec bienveillance et se servit avec soin. Et la mère Mälo s'en fut. [vers sa voisine,:
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ue de broderie, envoyé franco dhns tout le Canada, lôutes les commandes au département des patrons
Oui, tout simplement, et,
Celui qu'on interpellait ainsi |
| tits compagnons et les amenait devant une de ces nombreuses states de “la Madone” qu'on rencontre à chaque pas dans la Ville Sainte et devant les- quelles la piété populaire tient ton-
2: Lun
:L'
ontiies de da pe Le
ile. Lente? Elle retient - les passent qu'il a sous les jeux ne soient} l'enfant dépuis sir aps jusqu'à quatorze ou de Faite La torts se ut reste? plus, s'il fait des études’ secondaires. * Cerles. son à l'heure actuelle, elle entend remplir une mis- BA Fr pas Famille, n'a pas seulement l'avan-| pour faire lg bon bouillon: Plus:l sion ‘hautetent éducatrice. x Elle ‘Proclame, sans hési ; que l'édieation morale doit avoir l'avantage de la priorité, comme celui de la Es est. + es. AP dune VO le pas sur l'éducation intellectuelle; que la ques Éôntinuité de l'action. Avant l'école, c'ést-à- | pe % pos finale et. dernière de l'instruction "n'est dire après l'âge, de quatorze .ans,.la famitle : qu ‘esl-ce que les enfants savent?”, mais “‘séule #duque,.et, pendant la durée des classes, |au'it mette tout à coup je bouillon en bien: “qu'est-ce qu'ilé seront dans la vie?" Elle ‘elle éduque duirant beaucoup plus de temps ébullition. L'écame doit aa ho développe, entre äütres, les vertus sociales: la :-qure l'école. * justice, le fespéët des droits d'autrui, l'amitié. A ces considéralions malérielles s'en ajou-
À pes mag gro ap mn roue - nee d'histoire. LES
en, où, du y
retombe da. / launi.] liat RIT detrcébise ment. ‘brèche, comment espérer que|
. F 7 sx ms on : ernier facteur de l'édu-\ Le boeuf els viañde la melliqure
lage. de la durée de l'action; ‘elle a encore | viande est sainë et Traîche, plus Doûr
froide, saler.et faire du bon feu. Ce- pendant, le feu ne doit pas être tel
monter. ét être enlevée. ©." 40e"
Uns) tale. et “don, du. mat de: ; . dans des léguthes: navets, carpttes, Vendredi re LE Josi-Baptiste de
la chari é, le courage, l'énergie, la forcé d' âme. tent d'autres d'ordr® moral, poireaux, panais, céleri, un pen. de Dre 16-8 Us di he A l'école, Re ce “image de la société, l'enfant’ Fout d'abord, l'action de l' esemnle-ou Lire: feuilles de laurier, un clou de girofle, ms “1 AS
brénd conscience d'un ordre général qui dé- ‘fluence de l'autorité des patents sur dés êtres | une Eousse d'ail etün o‘gngn brûlé. passe ses instincts particuliers, et il accomplit. ‘hés d'eux, assure à la famille üne puissance | ; res: | sex efforts pour un but qui tend sans cesse à’ éducatrite plis grande qu'à. l'école. l'éleber di-dessus de lui-même.
Dimunche 17 —- Olnquième après Pat
ques. 8. Pascal Baglon. ; de WLM, 00 11 fâut ensuife laisser bouillir à pe- "a u fe ten, sans discontinuation, environ manne torts rot bnrnase«
. ca ôù sit heures: s MARGE + vs CR
Ensuite, dans da famille, l'éducation est} Les äbattis de-volailles, un morceau ÿ — Rogations, e Le Fa Mais dans son éducation morale l'école se. plus personnelle, plus spécialement appropriée | àe poitrine de mouton, joints au boeuf, nsrdin de Slenné.:, FRET di aux facultés de l'enfant, et elle est subordon- Foin-de nuire à la qualité du boullion, ,
heurte 4 deux difficultés. Tout d'abord, la tecon à le tort d'être née à son intérêt.
Dame! que «irait:on d'un hô- On ne peut donc en douter. C ‘est surloul
servie à tous.
pilal où les malades seraient répartis péle-mêle … sur la famille qu'il faut compter, si l'on veul dans les salles d'après l'âge seulemeni, et où éduqiüier convenablement les enfants. un médecin, n'ayant pas le moyen d'examiner CEE UNE MERE.
[4
— Madame Turbot! La dame sursautäà. La table entière regardait dans-la direc-
tion dé la mère Mâlo, trop oc- cupée, pour remarquer qu'elle
u la compagnie. di ep vait s4 route:
— Monsieur Turbot!….”"Mdle: a er
le poursui-
ces personnes, mais ellé n'était pas assez sûre our enfreindre sa consi
“cependant, vers la fin
tournée, elle se frouva en face d'un de nos cousins à peu près
de son âge et qu’elle connaissait depuis qu’elle était aux Gre- lets, c'èst-à-dire depuis tou- jours. Alors, elle prit son cou- rage à deux mains, et d’une voix claironnante:
— Ah! cette fois, tant pis, j'peux plus dife Turbot….
Puis, après avoir pris un temps, elle s'écria :
= Monsieur Constant! Ce fut le bouquet.
entière éclata
dé cette hilarité générale. Ainsi la noce fut des
La noce
de rire. La mère Mälo en fit autant. : Elle ne com- prit qué bien plus tard la cause
plus
aies. grâce à la “famille Tur-
Le”.
: Jacques des GACHONS. ee
Le Mois de Marie
AeRome, par un beau soir de mal, —
ne fe u'en relèvér le goût et le | "Tin ie 7m ; ae nn au a Un jeune élégant av Quentin riands est cuite. on te 10:4 : VOlM et ER Eu A à | tire et on passe lé bouillon dans un | première culofté; on. l'admat 1414 tamis ou dans une passoire. avec les grandeé personnes. il sait.s8 | Quand il fait très chaud ou quand | débroullier tout seul. pour ge le temps est à l'orage, H faut faire | Mais voilez:vous la face! bouillir le bouillon chaque jour, afo | brouille comme {1 pent! 174 : de leconserver. : 11 se sert do ses dix doigts, le 54 : Le chou mis dans le potan-teu n ga | lère, de sa. fourchette, " ote pas la bonté, mais en change in | petit bünheur, I essuie l'a peu la nâture et en PROS. 18,60 un gros-bouehon de mie de pain. e ‘servation. ,,:; ts bout. der nes doigts ramasse ontant fe - io. 18%. Soupe aux choux | sance que. le pain. I brandit sa . 1 faut, pour les diftérentes ‘soupes |ière imprégnée de soupe susqu'à . | tux 1égumes, gg rues F4 ;
J ° : o tois l'examên, ou le concours réussi — Monsieur: Marie. ta sauce ne que î er rien aujaurd'hatt! . FOR LE RONVRE
Len pre C'est ta faute! Tu as Avant tout, done, les enfants . de
nr pas de PANECADE vront dormir suffisamment. Volei un - Monsieur: N'aie crainte,
+9 nie LE . Mieux! s Êw s À Lg lie FROURR rue
30 litres, afin «5 avoir
que. suivagt Y'age: 4 prune. Cetar safe CERTES es ti
leurs d'en . A1 aus F elles or Le “1 ’ajoule ue, Dion a en
ment C d'taley. ou. ün” adolescent doit se coucher fle soir assez tôt afin de s'éveiller spün- ; te tanément.le matin assez tôt pour être le tout autant qu'il faut, ; ÿ ? à l'école: à, temps et que Tes: révelile- , g- Que l'école soitype fatigue: pour | Matin devraient être bannis rigoureu- Jeunesse et folie l'enfant, personne n'en doute. On dis- | “ment de toute ‘chambre À ‘coucher Ce petit volume est le premier d'une cute seulement pour savoir par quel re Rd ad Miss en JA pas fr série. que veut publier l'auteur pour mécanisme l'école provoque cette fati- mine sa croissance ouvrir les yeux à. notre féuncsse, à gue.. Les parents accusent les pro: notre jeunesse féminine surtout. M. grammes d'être rene. ‘e er SOIS BONNE l'abbé Baillafrgé a noté au cours de tres affirment que parents fon À ses lectures des témoignages de voix bei, 2l le RE PT : Don mien autorisées. qui ont parlé des folies ss n'arrive pas à s'entendre. eureuse- | 7, r notre jeunesse. 11 nous donne ces à à eune ‘éponse, disait un jour le Jen ! ment ee les me qu'on n K Père Félix, dans une deses plus-bejles | mplenages et les fax suivre. d'un bref eoute ma En rm” 2 ES causeries, veux:tu être heureüsé?” Sois | Commentaires C'est un, volume: qui ’ ae Rene épurtager ces deux | 010€, — ls bonté dans une bélle &me | HOUrTA faire du ue dans plus d'un | Ro me p AR s'en définis | °5t Comme une belle fleur quigmbau- moe # % cape à po mer qu Ra autos etre an | |, A PA Dali, rune tout à fait tort ni tout à fait raison et é En ex Vo LCA se. Les aftec- PNR Ja ah, ns. à Ver la yérité est entre les deux.” [tions qu'elle suscite durent. :1, ” - Quand on a dit d'une personte: chères, P. #
En tout cas, c'est une vérité que l'é “ à cole représente une fatigue et il est | C'est la bonté même”, la langüe h'a
vraisemblable que cette fatigue est | Plus rien à ajouter, c'est l'éloge, le due pour une très grande part à .la plus comp et. , F
position assise et à l'insuffisance de | Jeune épouse tendremens a \ mouvements. prolongée pendant _ quand ton. époux revient, le soir, ide
du sel à propos, pour que.la viande en prenne Je goût L'on y.met des oignons et du céleri, en laibéint cuire
glen, entouré ‘de er mal ‘élevés, n'üura que trop de tendances à pren: dré une-tonte négligée. / li. -Plus tatd, s’il a eu de bonnes: nai Âtüdes flans son enfance, IL loÿ! nt vera facllemént, ? Hs «Done, donnet-lui l'ambition d'être “un. jeune homme élégant”. Se Qu'il mette son point d'honneur à bien manier sa fourchette, à couper son pain en moréeaux corrects, À s'es- ‘super la bouché avant de botres:} 15 Vous verres comme i} sera ‘fer dé ses nouveaux talents! Commeift gré. dira dans sa propre estime] "7" ""#
“Maladie de foie ad pure que”
il y a de cela plus de 170 ans, — un enfañt réunissait autour de lui ses pe-
jours une lampe
allumée.
Et cette troupe enfantine, aux voix fraiches et pures, se mit à chanter les
Litanies de la Très Sainte Vierge. Le
lendemain, les enfants revinrent plus nombreux; bientôt ils furent suivis de leurs mères, et bientôt les passants aussi s'arrêtèrent pour s'unir à eux: le. “mois de. Marie”, que deux cents ans auparavant saint Philippe de Néri avait rêvé ‘sans pouvoir lé féaliser,
était ainsi fondé,
De la chapelle des Pères Camiliens de Ferrare qui avaien adopté tout. de suité la dévotion, la pratique des pieux exercices du moi de mai passa bien
Aujourd'hui,
“| vite en France, et de la France dans le monde entier.
dans
tout l'univers catholique, i} n'est pas un village qui nait son "Hess de Ma:
rie”.
D —
, Une jeune fille de New-York, ren- versée il y a quelques mois par: une sutomobile, avait perdu, à la suite de cet accident, la faculté de pleurer et
de sourire.
Le jury devant lequel est venue ra faire, jugeant que là Victime avait tre “perte de facultés précieuses”, Fu s attribné mille dollars de domrages-
imtérèts.
La ebronique ne dit, pa si. en pré-
sence de Le paatage, matrice). elle :gofter à tout
a re te” DORA.
Array
+ hèures, Dans un. organisme d'enfant | 8a journée de labeur, un peu fat ; E qui est assis et immobile, la circula-|un peu triste, aie un bon souriré, un tion se fait mal, les poumons se rem-|bon mot, et quelque chose dé plus — plissent et se vidept incomplètement | sois tendre; sois bonne, sois afiee. et l'inactivité des muscles dans leur | tueuse. : ensemble comporte une rntrave indis-| Tu ne sais peut-être pas ce qu'i a cutable au fonctionnement nornial d'un | d@ painer, ton homme, dans cette ba- organisme en vole de développement. | tallle de In vie qui n'est pas toujours On s'explique ainsi que la erolssan- | eomme dit le poète, un concert à di- ce de l'enfant s0it; comme l'ont mon- | later le coeur. tré des récherches extrêmement pré-| Sès forces se sont épuisées, Des! cises faites dans ces dernières années, | découragements l'ont peut-être acca- entravée par la fréquentation scolaire | blé jusqu'à l'épuisement. Des défai- et que les longues ‘vacances d'été tes, des déboires Jui ont navré .le soient une chose fadispensable à l'or-} coeur d'aihertume, Que ta bonté le ‘ganisme de l'enfant, pour lui rendre | rende fort, ‘sa vitalité. ne Et le recommmencement de la latte A côté de cette soude! raison, fl y | est quotidien. Que‘ton affection ne'se a encore les bésoins du sommeil du lasse pas. Quand tu le sentiras enva jeune organisme, question que les pa-| hi par cette immense tristesse de le. rents ne connaisSent pas toujours cam-}! vie, sois meilleure. me ils le devraient:. Ils se jaissent Il faut une âme à un foyer. Le rôle, trop facilement fléchir par lesysuppli | n'est pas au-dessus de ‘tes forces, editions de l'enfant, qui insiste tou. | Kemplié-le. . D'aflleurs, le bon Dieu t'a. jours pour se coucher le plus tard pos- faitg vu Deu pour cela, — “adjutorium sible, alors que le léver dé -matin.est | el” = son aide. Sois-le toujours das toujours fixé à la même heure. Des lés sentiers parfois ni dificiles de la enquêtes ont-montré, eu effet, que. le | vie... ; déficit des heures du sommeil pouvait Tu ne sais peut-être pas encore ce |'stiindre, dang ces conditions, près de | qu'il y a parfois de générosité dans le à trois hèures par auit chez des écoliers. | dévouement d'un homme, en mére 1 y a là encore une cause d'épuise- | temps que de souffrance dans sa-sen.
NET
+ 4ÿé éduffrais beañconp d'une dla Ÿ: * tation du fote depuis dix mols se \ finalement j'avais dû abandonner * le travail. Je me levais le matin es vec la bouche amère, j'avais dé don: fréquents maïx de tête, le teint ‘ Jaune, et je ressentais des dou gt | au côté droit et entre les 6 C'était presque fntolérable et ter- riblement débilitant. Je ne pou watts dormir la nuit LORS ‘faisait aussi souffrir. Mafs tout ent disparu grâce à cette merveilleuse médecine, Dr Chase's Kidney-Léver Puis.” =.
CL) LR | +
M du Dr Chase pour le Rein et le je Foie!
hs ndlr on sr 6% ‘ Aa
ni
ment dont la mie ne saurait être stbtlité. te + exagérée. Tu le sauras plus tard, ce ‘vieux ps un des magnisques à pornos Ganara ont iphelatiment a46 N'oublions pas non plus l'indétution tard qui‘nous apprend pr et tant de commodité d dr" au Jublié
pour
Hn plus de la à ie p t Le lan d'autsis portatifs pour la tie, tou at RE s. Le 158
[e snpe sasure le contort dé tous les passagers,
ÉTR Sas Rr LA LIGNE CUNARD "
4
| Énrdeiannel tu EF 4 pre SE “i AUD wLNxIPEG) MAN. |
des concours et des examens surchar- | choses. gés de \natières qui obligent îes en Mais sois bonne — boues. lants à se surménêr ét à préndre sur Frêle créature qui ne connaît dans leur sommeil, aù risque d'y perdre dé-| la vié”que ‘le côté rose, &’ pour. te finitivement la saûié et, ee qui est | et par toi souvent qu'il
tre plus, &raye ençore, dé 84° + R Faaranelal des regrets, sp à
PAR AL PET RLE “ 28 y LA
Her les},
) de lait jusqu'au : , mais ce pâturage ‘un bon Dell vus (des rébeltait, ‘eû ‘out SEE Rene Feu à ue veau faible et. vs enveloppés dans du papier de soie; Excellents :.:........:.91.00—97.50 RE Rien SA “ la
Bouvilions engraissse— choix ...... énu s «8 « 90.78— 96.25 msi. mere 2 .:9060—45.50 Bouviilons à engraïsser — f t elles étaient en ss. a y suc . ÉCTE—$5.00 ' w'en somme La de ricin. Ensuite né donner que) parrait état | ; TN ÉTNETE Eee . Aa.80-—44.50
lait petite quantité, . au
: chaud en on ajouie unipeu de farine grillés
J'avais semé sept acrés de soleils. Je compte que ces sept acres m'ont
LC
‘si els 4 ces Aspirine signifie produit de. Bayer, : relati- donner un oeuf cru toutes les trois |, Lorté entre et: 14 toùmes d'ensi- ais 60 roliger le pelle obâtrs fes Moyens : 5.00 …..82.50—93.25 nt peu développé et 1 faut se . . Tesir le veau dans un en- He Y'acre. oe ces chiffres pan La Société Saint-Jean-Bap- céntiviiuhe io tablettes de la com-| Communs ...1,2,.::6,. + VE r-08.35 le surcharger de nourriture | droit chaud et sec. ‘ lé fait que j'ai eu assez d'ensilage pour | tiste de Montréal veut les gd energie Taureaux— sé s 7 les deux premières semaines L VILLENEUVE, en donner une moyenne d'une demi- » ; faire revivre le 24 juin | “Cros Bayer”. de : 18 |De choix HA 251116800060 | "8 à 20 ‘ eh: pee Instracteur agricole. |tonne par mois à plus de cinquante | mme | DIOChAÏN À Fr je Ordinaires 3, ...1.5.:1:4 08264276 L—— Uivisées en t quatre--re a . | ve ju A — Jr, : 6 CDD O——— bètc:, et cela pendant trois môis et} na, Meltort, Yorktori. Weyburn ét ë . : Taures de boucherte— , pas: male cé lait doit être doux et : demi. : North Battieford. L'objet de dette 40 | Montréal — La Société Sañit Jean. | missionnaires et explorateurs du 17me| De choix .......,... Les-.86.75—$7.25 | D ref ps apte CULTURE Es somme, les sept acres que j'ai | opérative est de réduire au mininfum | Baptiste de Montréal, qui se prépare | “iètle. — la marche en raquettes: A! Assez bonnes ...,........ #5.00—46.50 Se ee ne me LA ne om a [D a et en du Cu ais, dus Por | as à gr le dhutes di Morts de volts. vtt DES à peu près 30 pour cent de pins, à | liser le marché des oeufs dans l'intérêt | pour célébrer d'une façon extraordi. | Grip Con ard, 1e pren pre De chotx nés neue sue: :8248—80.00 Ja te eutventé: ‘ | l'acre, que le terrain que j'avais en$@'! du producteur et'da consommateur. | maire notée prochaine fête nationale, | "°"": #10 NOR Ge A QE * | Bonnes... ges - une «82.503 -83.50 N-Vrau, on seivre ls 106 vente: M mencé en blé d'inde. L'ensilage de til rise a déjh organisé 29 chars historiques, | “27: Marianne s'en vrt-au moulin: : RÉ ie-litres per Jéur-penéant le, pre — Vas-th former du soleil cette an: soleils n'a peut-être pas été aussi bon ; À qui oht pour but de reproduire des vi- le tissage domestique et l'intéendant De “choix pe PT 9.00 RSR RSS à 5 | Gta Pierre ya pour le lait que l'ensilage de blé «in | La Conservation des oeufs |, e-pusss, où le pubiic'verra les | 72107. 1670; marchands traiteurs et | TN ST ar og hu par Jour Dm HS troisième pa Mais non, puisque les soleils ne de, mais per TR Je suis persuadé : $ © | éoutumes et lés traditions ancestrales bis ri mal le canot d'écores: Ordinaires :.:::::..:1% 48260 —$4.00 la * quatr! Semalte. divister en valent rien. Te .rappellestu ce que | qu'il a été meilleur pour tenir les ani | La station fédérale expérimentale | représentées avec le plus grand souci res : r caen sa sp la v dé h repes; 13 à 14 livres par jour pén- | ious disait ie profésseur ‘d'agriculture | Maux en bon ordre et pour les engrais | qe Sainte-Anne de ls Pocatière # fait | de la vérité. dé, Saint-Malo, beau Feng ve ë ù : De chotx .:2%::%% 2/5 #5.50—95.75 üht,,j9 cinquième et 1a s'xième se [qui üccompagnait le train-exposition | 5er: el des recherches pour trouver le meil-| Le premier, qui est allégorique, est poguiaire: 18 re dB à ss re pes Bonnes... 0: #425—$5.25 Fam LI à 16 livres pat jour pen | qui a parcouru les campagnes du Ma- Cette année, je vais semer une quan- | jJeur moyen de conserver les oeufs jus- | celui de la Société Saint Jéan-Baptiste. rats dt A té au: 100: LÉ €. | Ordinaires ............... 83.25 $4.00 A! septième et la huitième se.loltobs, l'année passée? En parlant |tité de sbleils au moins double que! qu'à l'hiver. Les différents moyens à | Viennent à ss suite les chars repré- oi ù à taste nt pra Pour Sonde an : 2 $175—$3.00 1 4 é de la culture du soleil, 11 disait: “Au | lle que j'avais l'année passée. l'essai étaient les suivants: oeufs mis | sentant les sujets suivants: UN QE USERS : enalson; ge pe ? F L À = [sfanitoba, ctux qui veulent se faire du| 7e cnseillerais à ceux qui sont por- | dans des cartons d’une douzaine, sans |‘ La Nouvelle-France et les indigè- | °! tressage, au manoir comme dans la dé PR RER 4 h:p'@nt pes nécessaire de dépasser! de corde pour allumer leurs poë-| tés à ne pas croire ce que je, viens | autre traitement: ’œeufs emballés dans|mes d'Amérique; Louis Hébert et chaumière; Je fils du roi s'en va chas | Montons bons ...........96. ‘
les pendant l'hiver font bien de se-| de dire, d'essayer eux-mêmes à faire | du papier de sofe et mis dans dés car-| Champlain, les premiers défricheurs; | **®t; °n roulant ma boule, chant po | Moulons ordinaires... f4
u est, faible ou que la ve! : . à ; L : | l'expérience que j'ai faite! $ .! 1 pulaire; premier voyage en voiture Agneaux bons ........ 13.60 , | b l'infamation au pis, 11.vaus [Mer du soleil” A part ça, j'ai toujours |" 01" À serge arcades Lot re "+ | de Québec à Montréal, 1734: la calè- | Agneaux ordinaires .....,97,00—99.00 | L le voadavé) ln mbre [entendu dire qué les bêtes à cornes, F PIC COLTIVATEUR, :. | Cu" 0e Tu Dane ei a ‘ ïche; ile-pain”de chez nous, le vieux |: Porce— | i « surtout les vaches 4'Täit”se réfusaient ——— D — des cartons d'une doutaine; oeufs Garder. ses enfants en par- ’ . ; à |
four; la plantation du maïs chez le | D'après la seigneur, coutume populaire; nuet danse type des anciens; : Canadienne, chant populaire; son paternelle,. celle qu'én n'oublie | Lourds .
ans doute dé à mange ide l'ensilage fait avdc du soleil; d'aütant plus que ça les rend rouvent malades: “c'est trop fort pour ‘les reins”, comme disent bien des eul- itivateurs. 11 y à encore d'aütres rai-
blongés dans de l’eau bouillante, em-| faite santé est le: premier soin ballés dans un papier dé soie et mis | d’une mère. Ce ré ne sau- dans des pots dé‘terre et recouvèrts | rait accomplir s'ils ont des vers. de sel; oeufs mié dans dés pots de! Servez-vous donc dé l’'Extermi- terre et recouverts d'une solution de ! nateür pour les vers de Mother
Ce eue 81865-81265 poele 02: 7 0 ARR ER ITI Tu
veau doit’récevoir ‘du lait entier e’
les trois ou quatre premières
NOUVELLES
de lin-où de graine de lin, pour rem-
lin; 10 divres; farine de sang, 1 livre X; sellordinaire, !; livre.
J'ai pu semer mon blé d'Indé, Comme
éminemment prôpres À la culture du blé d'Inde, ce dernier ne tarda pas à
|
teurs dotvent être érigés n'ont pas été
Prix sur voie (track)
gr
te ce que sa ferme peut lui fournir. | donnerons les prix du bourre et .es
Dlacdrj jà matière grasse qui fait dé- | de craljhels que mia répéite ne dec Nu De Ag Poe à En Mardi Merc. Jeudi Vendi Samedi Lundi | Mauvais père de famille, l'homme qui | oeufs tels que fournis-par les courtiers faut dgfis.le latt écrépé. Cette graine | “sante Dour Men ais Se LT Le sen GRAINS Srmai 6rai 7mai 8mai 9mai 11 mai | fait le jour ce qu'il peut faire la nuït. | (brokers). Ces prix seront toujours D: d0i dus Gboulientés-20 à 2f 7 ee à ofinée du ml, TE EE ne Lan agé | 2 LR TPRS À moins que le temps ne s'y oppose. | «pproximatifs, car ce maroné est sujet minutes avant le repdset mélangée | M°NCÉ sep: acres. ati Éneue: relie: Blé No 1 Nord 5 1.724 1.794 1.774 1.79% 1.715 1.70% | plus mauyais encore celui qui fait les | à de très rapides fuctuätions. eu ldit. 1" Va la sécheresse de’tont près 4e aix j Dan il rar gre) Ari ; 2 Nord . 1.6 1.76 1.74 1.76%. 1.684 1.67 jours ouvrables ce qu’il pourrait remet- Beurre— i gosinne Sose:bé lait snmalnes qui, ta ton rappelons, À PAT sr fe. 3 Nord... 1,644 "1,718 1.695 1.714 1 635$ 1.624: +rg aux jours fériés. CN : ARE ne r le. cs 2 --motre district. — - FT “wh TX % 7) MF gg +” Ba s à ' sé d ne à Sil'op n'a pas se Set de lait _ ve . fin Mao px Te : ea F06 ed * 1 Avoine 2 CW 581 59? 574 59 594 554 ÿons. celui qui, dans un beau jour, tra- cnerne 4% Bcéds , at) verad : : katchewan construit vosRe. + Loan . « " = < : aille sous son toit au lieu d'être aux pour! lenombre de veaux qu'on élève, | que je n'aurais paë de récolte de blé Le éolien : "+ 30W: ME 5, ME 4 4 le — rune où peut remplacer. le lait en grande | d'Inde. Par contre, les sept acres que , es Va 8 - : a” PSG ER. r les mélanges suivañts: j'avais ensemencées en soleil parais- 4 3 ° s Orge 3 CW .89 ...90} .874 .883 -874 .86 Méladge no 1 — Fariné dé blé com-| sufent très bien, et alors que le blé PP Le, When os de à 4 CW 844 85h ‘82h 83h ..821 81 muné, 46 livres; farine ‘de graine de | d'Inde n'était q#'à cinq ou six pouces Seskatchewan à ere dre a £ lin, #3 livres: tourteaux de lin, 50 WH-| au-dessus de terfé,.les soleils. avaient | P°"" la censiruction de que VE | Lin 1 NW . 2.35% 2.41% 2.39 2.45 2.42 2437 , 4 + vresi_ del ordinaire, ?; livre. déjà près de déux pieds dei bagèur; | (Ours de campagne à a diarDer GUN 2 CW. "2.314 2.374 2.35 241 2.38 2,30 | memes | Pélés ........... prisons - #17 M no # — Farine d'avoine rou- | ils étaient forts et'de très belle appa- ut Company”, pce pre sms À gs — - | Ne permettez pas aux vers de | Pommes de terre— i6e, id livres; farine de graine de“lin, | rnce. La pluie nous vint enfin, et ne entres np a sur Seigle 2 CW - 1.18 1.23 1.212 1.23} 1.187 1.15} saper la vitalité de vos enfants. {le minot ........ dus sa 2% 0081.00 5 livre gru, 15 livres; tourteaux de | comme nos terres du Manitoba sont binton ‘ Ués HArRE 08 des dvi —— Si l’on ne s'en préoccupe pas, Farine— s jis }
les vers auront tôt fait dé cau-
LaLe of the Woods
à-remplacer une partie du | " “abus MA prnes ne 3 : Mn {pas; Montréal, quatrième ‘ville ffan-|Très Jourds «ces sex) «7 10.007 81000 ie er par un-pou-de lait éerémé, | *n# Pour he pas rt répare ré FFT È : se ser p pd ege i Graves: , çaise de l'univers;. la guignolée, eou- d'étai core 2 PEN en mettant 4. de lait écrémé dans % |J° l'en fais grâces Le blé est entièrement semé tume vénérable; la croix du chemin |jégers Le canne 88.00—81028 ifit-entier, et augmeñler gradüell.."" Pn bient mot, pour ma Pr. 1 dans le sud de la Sas- ; Cours du grain fourni par et le mois de Marie; Vive la France/{ inférieurs . is... .ur 87.509750 à fément jé lait: tous Tés jours, | Dao Sandi étend l'an véaah Val katchewan Æ ‘chant populaire: Soeur Bourgeois/ét | Truies No 19... i2 1. « .8960—89.80 Sfindque/ce changement prenne du | © M : ri LEE Mald El Co < 1 d la Sainte-Catherine; “O Canada Trutes No 2 ..........0..99.50—99.50 rt 7 à S'jours pour changer du-1ait Le ri Ce Es é FA nertsed jo À Régtha:-— Duprès-l truisiiee: rent en levator. À mpäny t de noë aïeux”, hymne sbieurer dés Hit Le que a aan % Le à Lhatier” à leh & did: ed n'ést quo gt sue a réches in Canadien Pa Prix déchargé à Fort William.ou Port Arthur . . | Sean-Baptiste, le-pairem. : 55 24 L CES A HER AL 4 | deux d a, les semail- R : = CAR tar Note—Comme Winnipeg Froûnce Eire à table de farine de graine | ‘228 les preiers jours de juin que LE inées dans doure pout la semaine finissant le 11 mai 1925 Mauvais cultivateur, celui qui achè- | Exchange & cess4 de fonctionner, nos
L à décidés définitivement. Ceux-ci seront | B Blé 1 No { 1.723 1.794 1.77} 1.793 Une ivre d'un de ces mélanges est | faire des progrès si considérables, que F1 ase orc 4.4 2: 1.41 1.175 fai u js d'août j'étais nusuré des derniers modèles-et-auront- —"Avoine 2 CW 3 1 De € Sictfir 608 . capacité chacun de 32,000 minots eg CW L "89 EE a + gruau. 4On délaye ce mélange pyemië- | d'une bonne récolte, Mais pendant ce ‘4 : I EU NW 2 3 B 2 | 413 2 39 2 45° remént avec un peu d'eau froide; en-| temps, mes soiejls avaient fait èñcore 2 BALE 4.294, 2. . 2 » - süiteïon ajoute assez d'eau bouillante | des. progrès plus extraordinaires. Jugement de la Cour supré- Seigle 2 CW - 1.18 1.23 1.2H2 1.23% 1.18F 1.153 | dices qui lui prouvent qu'une } 2 sacs de 49 livres ......:. + «1 - 6.20 un sallon de gruau. Ce! Vers le 15 du mois de septembre, me au sujet des grains ee FRERES ET Options : dose de dres à vers de Mil- 4 sacs de 24 livres Pen être Pure cs lés mé- en = en sets pri ne Para - au pays - x pe” est gps rer. res PES Émÿre “hoyal sac es : : pr ù es y he es d'Inde era #4 a perds : He ue 25. À Blé de Mä' Le æ P.724 1.794 1.77} 1.79% 1.71} 1.70} «mpix nd dem .et el es : € e 98 livres va me dar nues pue 88.28 -3 de lait entier ou lait |se, me donnait à peu p e ré-|. Ottawa — Dans un jugement que de Juillet: 1.664 1.71 172 1.761 169} 1.66! expulseront les vers u système sacs de 49 livres .........7: :.$5.30 * colte. Comme les nuits devenaient de | l'on croit devoir affecter les permis TOME" "4 30} 1.424 1 404 1-43 1.38È 1.37} sans aucun malaise pour l’en-,4 sacs de 24 livrés i2441,:10,12 8828 les veaux ont trois semaines, | plus en plus fraîches et que J'avais | émis par la Commission des grains, ER ï + + S L fant. : Maple Leat Flour Milis— : , ence à leur donner une petite. | peur d'une gelée, je travaillai jour et | 13 Cour suprème du Canada a dééidé Aÿôine de Mai s3 545 ‘SA 55 54 ‘53 Sac de 98 livres”. 5 2 77: 98.25 , d'avoine ronde, du son et un }uuit pour, sauver ma récolte, Malgré | (1e la sous-section 7'‘de la section 95 bu L Juillet LE: L7: 8 “6 LE nr. mes efforts, une bonne partie fut tou- | qe J'Acte des grains est “ultra vires” d'Octobr 50 °,51 51 SE Sté 518 | A NT, SM | tt cact de 24 livres ............. chée par.la gelée. Pendant que le | 4e; pouvoirs du parlement canadien. | ss 6 Alimertation— . É a L'roid: endommageait mon blé d'inde, |. Cette soussection voit à ce qu'il| Orge de Mai … .89k .90} .S7$ .882 871 86} Son, La tonne ...:........: + 924.00 avoime fl te: > ét} mes aôlélls, dont jé n'arnis pu: m'oe | soit fait note des surplus dans'les élé |. de Juillet 90} 914 .88 r- 89: + 87 Gru. La tonte .....,::5:.:. 1.1. 620.00 : dhacsat-ellhq Éd cuper, continuaient à grandir, én-dépit | vateurs publies. 1 faudra disposer du d'Octobre 18 |‘ .18h. -.174...714. 46h 16% Bobi suivant, qui est encore préfé- | des nuits très froides et même des | cuart dé un pour eent:.le surplus re- > x Le s2c-de 950 livres”. à ue À parties, Lkelées. Vers le premier octobre. ayant | icuruers à ja Fois nission -.. | lLin:de Mai .….… 2-38 2141 2,2 2.45 2.4. 246 LS DR he Lud s ge 1 de bis, | enfin fini d'ensiler mon bié à , s " fr de Juillet _____.. 2-39} 2.45% 2:422 2.48} 2,45} 2.46 LES PLUS HAUTS PRIX F4 :sauripaux, de M Los .| pris le temps de creuser un silo spé tive volontaire des|- d'Octobre... 2.21 2.27 2.253 2.29 2.28 2.28 ” PROMPTS PAIEMENTS h élange doit &tre dont et | cial, parce que-jejne voulais pas mé- ÿ Û à pre 5 4 - s - D RENE 2 Envoyeznous votre prochain doune à peu près tout 6e que | langer le solëil gt le blé d'Inde dansi Oeufs en Saskatchewan Stigle de Mai. =. 1.18 1.:23-°1.21} 1:23} 1.18} 1.15} Dites: |; MH, No 1 .........,..:819.00-—820.00 peut manger, mais plué, |le mêmes silo, et je me mis enfin à À Va de Juiflet 1.19- 1.244 1:22 1.25: 1.20} 1.17 CITY STANDARD MH, No 3 :..... …...::918.00—#1000 e en #énéral par. 4 de | couper et à egsiler le solell. . Afn'de répondre à.de nombreuses : d'Octobre __1.05k 1.098 1.10, 1.114 1.09. 1.07 DAIRY LS DAIRIES L “Bed Top” No 1 :..+..1814.00—#15.00 Dar jour et on augmente gräduel-| Pendant tout ce temps, je me de- dematgies, les Crèmeries Coophraiiver + À WINNIPEC “Red Top” No 2 .,::. -#13.00—414.00 que le “veau reçoive 2 à mandais toujours si je. n'avais pas per- de la Saskatchewan tiennent une coopé- on À RS FE + PAT id nos Cu + Den PS US No Mi mr fe +. ds “he » en
? " RE = pe ni Tia : Un 4 3 + A PPT A PUS été Ve dé dune 0e Aie de. ot: M r s : p + BAS DT SR As RE LH QE LT ERA Qu » * s ri Fa ‘ : Ses 2 / ñ M LV à , À y: cui , à É £ 7 à ER He ER + DS da D hais DÉLAI x “4 : re F ÿs à, ‘# * ein 4 ? es À 4 SAT OR TE ET PTE TN) ui. AT cp RON MD TRE Vo ec ree lus me Leitinre es ALT AE A sutundré: x. : L . éme A si , " - — ab adramitéaiéhte nette atétietnetin dette Thertaaneniiemdiitèree nait timéantrnntéetetisi een PDA “à a mé gr motard mdr se TT 5m ange agents 47
rmgiper “jour à l'âge de cinq ou
Le veau doit avoir du sel à sa dis-
x | = SEE COURTIERS EN GRAIN ET AGHETEURS SUR VOIE Léo HE side Qu PR LE ; %
* réguliè is d à rvir UTION vx sont demande, sera votre avan : une bob par Jour. Autant que de cut cusnee. “rasiement. se me Terre à Vendre WINNIPEG Lee tre + à SASKATOON somnèlle eu LES S picine vale = gi Leon SHiastion CE ble, les repas doivent être doh- | dévidai et je donnai une bonne ration : ; à nt
à des heures régulières, Tout changémient dans la nôurriture doit
fait fraduellement et toujours à fàù même témpérèture. -Evites la sura- limentation. Que les Vaisséaux et les auges spient propres. Toujours tenir les vehux sers ot ne pas lés exposer
Bux courants d'air tro, Ranrmipges
du mon temps, et si mes animaux mahgeraient cet ensilage. J'avais tel- lement peur de m'être trompé que je
à chacuñe de mes vaches à lait et à toutes mes génisses. J'avais, jusqu'à ce moment, donné de l'ensilage de blé d'Inde et me demandais quelle récep- tion on ferait à ‘cet enâilage de soleils qui, je l'avoueral, ressemblait pluéôt à dés bouts de branches qu'on #üraît
et: qui aurajent été salies par
rative volontaire d'oeufs à leurs entre- pôts frigorifiques de Saskatoon, Régi-
Mo acres de 1re classe, quart SE, 32 et À. % SO. 33-5-3E 4 miiles à l'ouest de Câr*y. Tout cassé et prêt à être mis en jachère cet été. #21.00 par acre. #1.00 par acre par année. Intérêt 7%. Wadresser à #
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sur-les rangs pour la position. S.:. 2: #9
M..et Mme F. Humby sont partis qui honorera ls fête de sa présence, s |
pour Dawson Cihty, où le capitaine Humby à été transféré. lis étaient |}, célébration.
depuis sept ans dans notre ville et Mine Hu:-nby y avait pris une part ac- tive aux ceüvres sociales et catholt- ques. :
Le nouvel inspecteur de la police montée est l'inspecteur W. Muntiay, qui était à Régina depuis l'automne |, dernier et a fait un séjour de deux ans à Chesterfield Iniet, dans je terr!. totre dé la baie d'Hudson. : N
+...
“Dwant les neufs jours qui arécisest la fête du Sacré-Coeur, du 11 au 19 juin, aura lieu dans le monde entier la neuvaine messes pour la eonver- sion des Juifs, Le couvent de Notre- Dame, de Slon fait de nouveau appel aux membres du clergé, leur deman- -dant d'offrir une messe l'un de ces joërs êt de lüf donitier aVis de la date. 11 s'adresse aussi à la générosité des laïdués, les invitant à faire dire dès mêsses à cette intention et à luf trans- mettre le nom du célébrant et la date de/tà messe. : Le Souverain Pontife a à coeur celte oeuvre de la conversion des Juifs ét l'année dernière il a dit la messe, le jour de la fête du Sacré- Coeur; à cette intention. '
de Colomb, ete. — le Collège Matl:ieu se prépare activement à célébrer avec éciat et splendeur, les dimanche et
bres jours de 1660, Mgr Z.-H. Marois. ; P.D., vicaire général de l'archidiocèse.
bien vouiu accepter le patronage de
Programme de la tête
Un programme des plus variés et des plus attrayants à été soigneuse- ment élaboré par les organisateurs La fête commencera le dimanche 24 mai par une d'messe solennelle à
l'église paroissiale Les élèves du Col- lège chanteront la belle messe harmo- rise de Roswig en sol Le sermun seza donné par Mgr Marois. A l'élé- ration, fl y aura sonnerie de clairons par les collégietis en l'honneur des hé- ros du Long-Sault. Le soir, à 8 h., il y aura granile séance dramatique et musicale à la saile académique du Collège, et les élèves représenteront une captivante tragédie en cinq actes. Les prix ner a seront populai- res.
Le er mé pique-nique sur le terrain de l'église, concours, tour- nois,-parties dé balle au camp; am sements variés, concert de fanfare, rafraïichissements el repas servis sur Je champ au-comptoir. Le soir, à 8 heures, répétition de la séance de la velile à la salle des promotions au Collège.
Nos compatriotes des localités avoi-
Nous avons eu le plaisir de saluer sidäntes ‘sont tous cordialement fuvi- pour la première fois À Prince-Albert | tés à assister à ces démonstrations re M: W-A. Fournier, agent général de |
lasCompagnie Générale Transatlanti que à Winnipeg, qui s'est montré lui même enchanté de cette visite. M ‘Fournier est: parti jeudi pour Edmon- ton et la côte. . . Li
M. l'abbé Olivier, qui était au Sel de nous depuis un an, vient de repar- tir pour là province de Québec.
CARS | k Un grand nonmibre de catholiques se
. proposent d'aller en pèlerinage à Wa- kaw, au sanctuaire de Soeur Thérèse - de l'Enfant-Jésus, dimanche prochain. a FERLAND Mile Marie-Anne Fouruier, qui vient de terminer son cours À l'école de KHégina, était en visite pour quelques jours chez ses parents, M. et Mme L-J. Fournier. Mile Fournier doit prendre la direction de l'école de Doi- lard.
L1 .
M. Aristide Fournier était au sana tortum de Qu'Appelle, ces jours der niers, pour consulter ses médecins Nous lui souhaitons un complet réta blissement avant longtemps.
L1 L1 e
M. Raoul Johnson, instituteur à Bil- limum, est en visite chez seÿ parents, M. et Mme E Johnson.
— 2202 —— BILLIMUN
Henri et Louis Wanlin ont subi è Shaunavon une opération des amyg- dales. Is seront bientôt de retour à leur école, ahour à ans double travail.
L2
Ces quinze pe rs ER la tempé rature à été. favorable aux semeurs. car M: Jos Brière a déjà fini d'ense mencer son blé. Dans huit jours, les semailles seront à peu près toutes ter ninées. ‘
. L2 L2
Dimenche deruier, Miles Alice et Marie Brière, ainsi que M. K. Joha- souont été À la messé à Ferland.
eV | Hélène, âgée de six ans, enfant de
1! est bon comme remède ezx- terne et interne — Appliqué à l'extérieur en frictionnant, l'huile eclectrique du Dr Tho- ras ouvre les pores et pénètre
les tissus, trouve le siège du mal,
ei le soulage immédiatement. Comme remède interne, il fait disparaître J'irritation de la
SR EE mes
maux organes
respiratoires. Essayez-le el vous | chevalier local, et M J-A. Forcier, | lent été dns per In cour Ipcais ;
en tapant
b
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: EE. 0 . x L y : a: 7 ONE PRE ER Se OS
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tera dé droit aux séances de la con-
ligieuses et patriotiques.
Arborez les drapeaux
La fête de Dollard toïrcidant ave le “Victoria Day”, célébré dan: tnt l'Empire britannique, il y a nm éou- ble motif pressant de célébrer cette fête avec je plus d'éclat possible. Les | citoyens se feront don: un pleux, dc- voir d'arborer leurs drapeaux à cette occasion, de décorer leurs demeute- res, de pavoisèr les édifices publics et les rues d'oriflammes aux couleurs na- tfonales. C'est la fête de la patrie, c'est l'apothéose de ses héros les plus valeureux. : La Rose de Dollard, em blème du martyr de nos libérateurs de 1660, devra être fièrement porte par tous nos compatriotes. Ces roses emblématiques seront vendues sur le champ. |
Prière pour la Patrie {
Le soir, à l'heure de l'Angelus. alors que les cloches de l'église tinteront dix-sept coups et sonneront le glas de gloire en mémoire des dix-sep!: preux martyrs da Long-Sauilt morts pour le salut de la Nouvelle-France, le diman che matin, à la grand'messe solennelle, tous nos compatriotes de langue fran- Caise devront avoir à coeur de prier pour la Patrie, persécutée dans ses droits les plus sacrés, de supplier le Dieu de Dollard, le: Dieu des armées et des uctions de bénir notre peuple, de conserver parmi nous le culte des vertus ancestrales et de la langte des aieux, de la foi de nos pères et de leur zèle apostolique.
Dimanche matin, tous sont invités à recevoir la sainte communion pour la Patrie etçle triomphe de nos ‘eau ses religieuses et nationales, — notre religion, notre langue, nos écoles, 50 survivance, nos droits Comme Dal lard et ses compagnons, avant de par- tir pour lg théâtre du combat, recurent le Dieu des Forts pour combattre
“jusqu'au bout”, notre jeuhéèsse 1out particulièrement devra comimunier ee jour-là afin d'être toujours des émules de Dollard et de ses preéux daus l'ac- complissement fidèle de ses devoirs primordiaux envers Dieu et la Patrie Convention des Chevaliers de Colomb
Sameëi' (le 20 mai prochain, aura lieu à Gravelbourg la convention du Conseil Suprême des Chevaliers de Colomb de la Saskatchewan. La ville de Gravelbourg se prépare à les rece- voir dignement Un programme soi gné est préparé à cet effet. M Louis Marcel, maire de Gravelbourg, asiis-
vention à Litre de député de district M l'avocat Thémas Galiant, gracd
délégués à la convention. MM. J.E. Brodeur, de Ponteix, et T-H Bouras- sa, de Lafièche, ont été choisis comme délégués substituts. Nos melileurs voeux de succès aux Clieyaliers de Co-
la ville. Ai psavait quatorze candidats | veur de la Nouvelle-Francé aux Avi HQuS: FOR RASE RGENS ER
Conseil Suprême de la province. Mouvetles Jocaies
La solennité des Quarante-Heures a eu lieu dans D À jours de mai au Collège.
PUan
._ . \ Dimanche le # mai, les Dames Pa- tronesses du Collège ont eu leur réu- nion ä cétte institution pour préparer la Fête de Dollard. Quelques jours après, les Chevaliers de Colomb et les officiers de lu Saint-Jean-Baptiste se
sont aussi réunis dans ce but. +. -.
Met Mme Maurice Gravel sont re- venus de Régina où ils avaient passé quelques jours avec leur fils Jacques.
+. e
Mme W. Saint-Germain et Mme H.
J. Coutu ont_ fait en automobile LS
voyage à Régina. . L 2
M. Mardisbe Morin et M. Blais ont tous deux subi une opération à l'hô pital de Régina. Ils sont en. bonne voie de guérison. Nous souhaitons à nos convalescents un prompt retour à la santé.
+ = + À
M..E. Cadieux s'est acheté une voi ture-automobile, modèle Nash (coup$} 1926, au prix de $2,550. ,
. -. =. _ A * Milles Blanche Forcier et Margue- rite Piché sont de retour de YEcole Normale de Régina. ——— DD ———
La valeur des ‘immeubles dans les villes du Canada
1 “Ottawa — L'évaluation des proprié-
|tés imposables dans les 82 villes du Canada qui comptent plus de 5,000 de population est de $2,082,251,786, ce qui représente uue valeur par tôte de
j #1 001.356. Dans 257 municipalités de ; mille à cinq mille de population, l'iva-
l'iuation est de $239,121,647, ce qui re. présente une valeur par tête de $614. Par provinces la valeur par tête est la suivante: Île du Prince’Edouard, $521; Nouvelle-Ecosse, $572; Nouveau- Brunswick, $484; Québec, $1.029; On-
| tario, 8380; Manitoba, 51170; Saskat-
| chewan, -$1,022; Alberta, $1,009;: Co-
Hombie- Jiritsnnique, 51.297.
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Î
Cigarettes explosives
Paris —.Les fumeurs n'ailument plus levrs cigarettes qu'avdc' crainte depuis quelques jours. On annonce de différents points de la France que
| des fumeurs ont été sérieusement brû-
Îlés aux mains et au visage bar l'ex- plosion de petites nn RE Tr RE dans le tabac.
‘On se perd en conjectures sur les mobiles qui cnt amené des inconnus à “charger” les cigarettes. Le Labora-
toire Municipal examine deux échan-
tillons qui lui oft été adressés par une des victimes, un méYanicien -pari- sien, et l'on espère que cette ertquête fournira les iudices qui mettront sur les traces des coupables.
— 2-20 0 — La ‘erre est un grenier de mauvaises herbes. Leg mauvaises graines sont
Si la terre est mangée par la mauvaise
lasse, ils la reposent: si elle est épui- sée. ils la fortifient. — Bujault. + . L] -
Mauvaises herbes viennent comme teignes ct be crévent pas. Ouvre la bouche prur parier; fourretoi dans l'eau pour te mouiller; suit la routine pour 1e ruiner. — Bujault.
Un remède de famille —Ceux qui connaissent les propriétés merveilleuses de l'huile eelec- trique du Dr Thomss, dans le traitement de plusieurs mala- dies, ne veulent plus s'en pas- ser dans la famille. C'est sur- tout et toujours un remède de famille et de même qu'il est ef- ficace dans la guérison de plu- sieurs maladies ordinaires, il est de plus bon marché, Gar- dez-en donc toujours une bou- feille sous la main en cas de besoin.
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DANGLAD
herbe, les prés la nettoyent; si elle est
les pêtes ali- LA \ E À
‘L'unité et les mérites de sa
vie parlementaire
Chaque fois que nous songeons à la présence de M. Aristide Briand à la Société des ations et au Parlement, ce n'est pas sans éprouver un secrgt réconfort.
Peut-il y avoir, en effet, gvéat plus éloquent et plus avisé pour défendre nos intérêts inséparables de ceux des peuples. libres? Peutil y avoir, d’au- tre part: thérapeute plus qualifié pour juger sainement de la situation inter- nationale et proposer d'y porter les remèdes qui s'imposent?
Conserver, tout en veillant à notre sécurité, des rapports indispensables aveclia Grande-Bretagne, poursuivre une juste politique avec la Papauté, demeurer fidèle À hos alliances avec nos amis de l'Est Européen: c'est le vrai programme dela France, dans le domaine des : affaires extérieures. Or, c'est le programme de M. Briand.
En dépit dés difficultés de l'heure, il a pris, il n'y a- pas longtemps, la parole; à Paris, en faveur du maintien de motre ambassade auprès du Vati-
can; il a ‘su éviter, ces“feurs derniers
à Genève, de se montrer cassant avec M. Chamberlain, tout cn rassurant, avec tact, la: Pologne.
Notre confiance lui est acquise. Sil possède, à un dégré éminent. la sa- gesse et le sentiment des nuances, il a prouvé, aussi, qu'il était capable d'y joindre. une réelle générosité et un indéniable courage.
Rappelons-nous, à propos des ques- tions actuelles, quelques-uns des écla- tants mérites de sa carrière; déga-
geons l'unité de cette vie parlementai- |
re, et nous constaterons que M. Priand, dès qu'il eut atteint sa maturité poli- tique et qu’il eut clairement discerni nos besoins nationaux, à été l'homme des mêmes causes, quelle que soit la diversité de tactique que son sens de l'opportunité ait pu lui suggérer.
C'est lui qui, en 1906, soucieux d'ay- porter à la France, enfiévrée par le sec- tarisme combis:e, le plus de calme possible, a réglé, avec une. subtilité pleine de nénagements, l'affaire de la ‘Séparation de l'Eglise et de l'Etat. C'est dans le même esprit de concilia- tion clairvoyante qu'il soutint, en 1913, contrg ‘un radicaligme attardé, la can- didature de M. Raymond Poinearé à | Ha Présidence de ka République et que, depuis la signature de la Paix, il s'est fait le champion de la reprise des re- lations avec le Saint-Siège.
On peut hardiment affirmer que la France a éts, À l'avance, disposée par lui à supporter victorieusement le choc de l'Allemagne, parce qu'il contribua beaucoup à grouper soient toutes nos énerzies dispersées.. 11 compléta l'effet salutaire de son action apai- sante dans l'ordre religieux, en récla- mant du Parlement des crédits pour notre ârmement et prépara la “Loi de trois ans” que M. Louis Barthou réus- sit à faire voter à la suite d'une cam- pagne menée avec autant d'énergie
de la famille des mauvais cultivateurs. Ï que de talent.
Les hostilités une fois engagées, la nécessité d'une politique d'union sa- crée s'imposait plus impérieuse que jamais. M. Briand qui. du 3 novem- bre 1915 au 20 mars 1917, remplaca M. Viwiani à la présidence du Cénseil, fit tout ce qui dé pendait de lui, non squieme nt pour assurer le rapproche- ment civique des Français, mais aussi la coopération étroite des Alliés:
Si l'aorrible conilit ne paraît pas l'avoir”"secoué d'une émotion aussi in- tense, aussi communicative que M. Georges Clémenceau, il décupla, à coup sûr, ses dons précieux de diplomate. Tous les Alliés subissaient l'emprise séductrice de notré Ministre des Atf- |faires étrangères Sà finesse jénétran- te et son bon sens opéraient,' toug les jours, des merveilles, Son autorité. s'avérait souveraine lors des conféren- ces qu'il se plaisait à multiplier pour le plus sérieux proft-morai de l'En- tente” C'ést'lui, ne l'étblions pâs, qui 2 démasqué la traîtrise de Ferdinand de -Ruquae et caen ace qu'il
+
De red AR rt anna eh qd
n jet fertve mé: eh fun ÈrS insts Ftait avec fermeté auprès de la Russie pôur qu'elle précisät sés intentions concernant le peuple polonais, dé s'at: tirer un refus d'explication d'une sé- cheresse telle et si chargé de mena- ces que la France et son vaillant guide durent taire soigneusement, mais en les gardant, plus vivaces que jamais, au fbnd du' coeur, leurs sympathles polonaises. ; “a
Avec quelle allégresse superbe elies se manifestèrent ces sympatbies lors- qu'il fut permis de les mettre publi- quement au service du Droit. A ce propos, nous songeons spécialement au grand duel francoanglais de l'an- hée 1921, au sujet de la Haute-Silésie, quand M. Briand étajt à nouveau Pré- sident du Conseil. Lorsque la Société des Nations, arbitre en dernier lieu, eut prononcé un verdict à peu près acceptable, la chevaleresque Pologne fut remuée envers M. Briand, son fidè- le soutien, d'un élan touchant de gra- titude dont son très distingué ministre à Paris le comte Maurice Zamoyski, s'empressa de venir, lui-même, trans- mettre l'expression au Quai d'Orsey.
Elles ne s'effacerünt bas de notre mémoire les _ belles paroles, prélude d’une conduité plus belle encore, po* noncées, le 14 mai 1824, par M. Briand, devpnt les divers re de la pres- se étfañgère, au len cours menaçant ce M, Lloyd Gedrze qui, dans sôn antipolonisme éxtcérbé cherchaït à faussèr les données dù Fro- blème silésien: 4
“M. Lloyd George a interprété la situation à son point de vue: mais nous sommes des pays libres, de
grands pays qui $e parlent les yeux |,
dans les yeux. 11 n'appartient à-au-
L'homme qui souffre de l'astiime attend la mort comme une délivrance. Il n’a en pers- pèctive que des années de tour-
ments sans fin avec quelques!
instants de répit qui sont eux- mêmes empoisonnés par l'ap- our l’asthme du Dr J.-B. Kel- ogg et fasse l'expérience du Qu'il en fasse usage régulière- par l’asthme seront bientôt des choses du passé.
préhension de nouvelles atta- soulagement qu'il procure.
ques. Qu'il essaic le remède. ment et tous ses maux causés
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inverse, tient, jui, .sa droite, est un Gp er his ouest ne sé: à. goujat et une brute. (l'est le goujat |: sous la ;
qui sème la tetréut gur la roûte, qui| 45, Re Re SEAT: 4 écrasé bôles jet gens, Gi ne ralentit 4 pas au énérolts dângérenx, qui ‘dou- ble les voitures en les, frdlant, qui veut, passer toujours même quand il n'a ‘manifestement pas la priorité. Voilà le chauffard.
-Le -chauffard est, en somme, le con- traire du chauffeur, du bon chaufteur. 11 est bête. 1] est rufle. 11 est mala- droit. Il ést lâche. 11: est l'ennemi de tout le monde et principalement des chauffeurs. J'ajaute que je n'ap- pelle pas chauftard le monsieur qui s'enfuit après avoir écrasé quelqu'un. Cet individu-là, je, l'appelle Qu vite un assassin!
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VASSAR
Le M. et Mme N. Daignenult, um hé- Hier nouveau, lequel a reçu au bap- time-les noms-de-Jorcrh-Meñri ir Sräin ét midrfaine: M, #&t Mie Ami
_Toislle.
. LA tébiieLachapeile, de Woodric ze, réndatt visite à ad a él J. Callab in:
ja
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…Mme L Beaudry, d Argyle, M'ia. béta quelques semaines au milier von puronts,
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. L 1 LE La famille Wenden, de Labroqu: “pris possession de sa nouvelle inéure ces jours derniers. ärmi nous.
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Bienveauc
Li L] L1 Le 9 courant avait lieu le conccur ile francais de l'Assoctation d'Educa- tion. Le cercle paroissial était repré-
-senté. par MM. A. Brun: AJ Beaudrs
#t:P, Bouchard. Une disaine d'élèves » prenaient purt. Nous attendrons le- tésulfits wvec anxiété. : Certes nous mn ‘espérons pas que l'êcole de Vassar soit le. gros soleil qui brille, mails Va nefite étoile qui luit, qmi scirtille et aui guide serait déjà quelque chose.
“Sous MAR pan l'enu à in hatisfne- tion de non clients
F. MONDOR meur de creunage de patte LORETFE, MANETORA Dugald,. Ligne 23 nounez : PRE Tr ce net
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é-1 11 + 15 16
| Grade X: 1. Anna Bisson: 2
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: [après an bain chaud, le cêr
1% : Naïssance
“M. et Mme Raymond Hildnrhétte font "part à leurs parents et amis de la naissotice d'une enfant, bépéisie ‘soùûs les roms de Märie-Yvohne-Faÿ-
ont fait teur réputation “et de maintiennent.
Les Pilules Dodd sont pure- ment ct simplement un remède
74 Parrain ‘ét |marruine: | Pour Îles Elles forti- r Bianchette 61 Rôse-Anna Le les ‘de manière ar Nr rèxt puissent lir leur Tbesu d'honfour dû Couvent avail en expulsant les inrpu- Gréde XT: ,1. Flôra Girard; ?, Jean retés du sang.
ne Nadehu. Un song pur qui circule dans toutes les parties du corps av porte aux différents organes la nourriture dont ils ont besoin
pour. se conserver forisets sains
SAINT-BONIFACE
AU COLLEGE
“Idéal et Réalité”, tel est lé titre de la belle séance dé classe que les élève: de Méthôde offraient jeudi dernter au R. P. Recteur, Concertations et say- bètes ont vivement intéressé l'audi- toire. Quofide plus réel et de plu: Vivant que'ees deux armées rangéer occupant les deux côtés du théâtre” Chaque élève est nn solda’ qui'rester: sur a scène à une seule: condition sayoir le mot de passe, c'estä-diro le temps primitifs de tel verbe irrégulie latin où gréc, la traduction française de telle phrase latine ou d'un anglii cisme d'un usage quétidièn. La classe s'est.rééllement distingue dans cet’ concertation sur les angiicismes. Ah! si ces petits bonshommies faisaient en trer dans leur conversation de Chaqu : jour les leçons du maître, ils auraient bientôt une âme vraiment francaise! Les différents acteurs dès trois inté ressantes saynètes ont fait preuve d’un grand naturel; la diction était éga'e ment très bonne, . "Le KR. P. Recteur remercié et f6hici = les jéunes élèyes. I dit soh bomheu de revenir à Saint-Poniface pour ft ffoisième fois. . Avec Ia bén‘dfction de son archevêque et l'a gnéreuse cop ration dés habitants du Manitoba, le Collégs de Saïnt-Boniface: poursnivrs von cenvre d'éducation, de Fortation religieuse ét nationale.
Nons disons à notre toùr' au P7 +r prolesseur et aux élèves de là class
: ‘ îñe Méthode: “Merci, vous nous : ve: ES fait passer une très âgréable soirce.”
SAINTE-ROSE-DU-LAC sas
Mercredi le 13, à $ h. 15 du soir, les “Wolfe et -Montealm!
élèves de la cla #8 des Eléments L°
Deux-hérss | dns -offriront-uñe ‘s£anée à M fab ignes, J'un-de l'autre et des deux'gran es nations qu'ils représentaient. Di
J-Ad. Sabourin, chancelier dn diocès: Tous. et spécialement jes parents de gûes d'avoir pour tomhcau cet immor- tel plateau des Plaines d'Abraham! Sister à cotie sance et À encourage:
2. . Mar j euèrite Eevasseur. |
Grhde IX{ 1. Antofnete Boulet : Éva Girogard. ‘ Grade VIII: (a) 1. Marie Aubértin: Auréfle Duguay. (b) 1. Yvonne Ovwéns: ?. Germaine Taverkne:. Grade VII: 1. Léohie Éehaye; fine McAdamis.
Grade VI: 1 Yvonne Guay; 2. M:
: lshet Saïfit-Jacques. Grade V: 1. Natlialin Desmarais; ? Arthur Lucerte. : .
+
e æ:
Grade IV: L Laura Perron: 2. Mar guerité Koensgen.
Grade fl; 1 Marguerite Gusy: x Jeanse Toùgas.:
rade Ï:- (a) +: Reîne Girôuard: Charles ‘Bernier. {b} 4. Omer Denic r5r 2. Alice Blanchette.
Grade T: (a) 1 Henri Boucher : René Demers. (b) 1. Léo Duhamel : rh : Éphrem Bohéimier. " *
Préparatolre: 1. Eloi Bohémer; Albh: ‘e DeMcntigny. . Nomination
Lé R. P; Edmond Dionne, rédomn {oriste, de Shorbruoke, récemment ar- rivé à Srinte-Anne, ect nommé vicaifi de
o PA
la paroisse.
annee
« +. = F4; RRYPP. Carmel et 1. Tremblar, C-SS.R., donnent celte semaine la mi: tes à Sainte Geneviève. (4
SAINTE ELISABE -ELISABETH -
Dimanche prochain, le 17, aure lie: Le ‘séance dramatique et musica
lâonnée par les jeunes filles de la pa fe On y rira et il paraît qu'on y
pleurera peut'être aussi: alors il y ce’ aura pour tous les goûts.
Qu'on se le disé et que l'on vienunc en foule, Comme par Te passé, encou ragor nos oeuvres paroissiales. ‘Love: du rideau à 8 h. 15,
ee :
Glèves sont cordialement invités à à
qu'on dirait taillé par la nature pour *!nsi les jeunes. . être le théâtre d'héroïqües épopées; | …. Voici le programme: où sur leurs cendres réünies la posté: Ouverture: “Friska”, dno de piano:
M. Prod'aomme-et A. Guilbert. Dédicace: G.-Leveillé. Un petit prologue: 3. Royal, P. Du
rité élèvera peut-être, un jour, wn mo pument commun qui les unira dans la méme immortalité.” (Jacques de Séri
eny duns ‘Le Drapeau de Carillôn”) Eal, À. l'äipechaud, A. Lemay, G. Le Bnienlre Pierre Le Sench dans ce | oÎlé.
Superbe rôle, aïnsi que les autres ac Concériation française: la classe.
teurs et nerices qui Je seccndent dans | ‘les HKléments”: Choeur. Soliste,
cé drame du vieux- Québec de 1760. | Joseph Royaï. Ps
t'est rerivre cette mémorable époque | Conrertation latine: la-classe.
de la condhôte et les luttes soutepue “Poudre ét farine”, duo de chant:
Par] Degal et Ernest, Pélissièr. © Conrertation anglaise: la classe. “L'avocat des écoliers”: G, Levetité.
par les Canadiens, trop peu aidés par le gouvernement du Hoi de France
| pour résister à l'envahisseur. - Eleve vos êors avec à de _de l'eau chaude ‘ Vous pouvek ol ce cor ou ct
Tout le monde tiendra à venir en Concertation (mots latins): la clusse Re ceue celle pièce du la se Dno de plano: Ernest FPAlissier et |de l'école, dharieh@"le 24 mai, féic | Antonin Lemay:', © 1 de Dôliard des Ormeaux. i Catéchisme: Juniorisies et Collé siens. “La Torfille”, cémédie.
Chant grec: la classe. Allocution de M. le Chdneetier. “QO Canada”. Au #iano: ‘ Maurice Prud'homme. ., , he 0 CD di —
Société Saint-Jean-Baptiste
Dimanche soir, la’ Société Saint- Jean-Baptiste à procédé à l'élection de ses officiers Ont êté élns:. Pré sident, M, Ernest Javème: ler vice- président, M, Médérie Cyr: 2me vice président, Dr Longpré: secréraire- A7 chéviste, _J-H:
durillon de vous faire mal dans une ou deux minute Vüici ce que vou: avez à faire: mettez quelques goûte: dé Putnam's Paifiess Corn. Extractor Sür la surface tendre du cor ou du du riljon et la douleur cesse à À y + ct Quelques autrès
un
Huot, : Fier MM. Noël Béroier, 3 (Perte, 27à Denpes: Gnaèen «3
É rl *, | # Û Ÿ a
PAINLESS CORN EXTRACTOR *
PE.
|
Dimanelie soir, dans la salle du Col lège, coniférence par M. l'abbé Lee:
Le éomité s'efforce de faire de'ce: fétés un suecès qui dépaséera même celui des années précédentes. ‘Mal- heureusement fous sommes privés des services et du concours de notre pré: sident, M. N._Jutras, qui, pour raison de santé, ne peut prendre une part aussi active qu'il l'aurait ;oùlu. C'est un grand vide à combler; aussi nous comptons sur la coopération du public îe Saint-Boniface pour faire de ces fêtes un succès qui fera honneur au aie Dollard.
LE coMTE. |s
Fête de DoHard
—————
lité à ses condisciples.
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M. Firmin Wyndels, entrepreneur eu construction, À obtenu un permis pou: l'éréction de sept maidons d'habitation ‘au coût de $5,000 chacune. Celles-ci sercnt construites dans Saint-Boniface et dans Norwood. *
—— 0e — Conduite héroïque d'un jeunè éco écolier
Mercredi derhier quelques jeunes gens se rendaient à l'école Proven- cher. les deux rives, de là Selne à l'endroit où s'élèvent les usines fle la Western Steel Products, l'un d'entre eux, John rytuk, voulut démontrer son ngi- Il monta sur la rampe et fit quelques tours très rêus: sis. A un moment donné fl perdit l'é-
“
A l'occasion de ta fête de Dollard. quilibre et tantba dans la rivière. Ses
le Cercle La Vérendrye de l'A. CIC. fera 1n veillée d'armes à la cathédrale.
dimianèhe 24 mai, de 10 à 11 heures du soir. C'est une fête paroïssiale et tous sont invités à s'unir aux jeunes dans la glorification du héros tumorte! dü Long-Saylt. Voici le programme:
Cantique. *
Sertioh de circonstance.
Cantique. s
Consécration de la paroisse au. Dieu de Doflard.
Appel des braves ;
Cantique.
CénKécration des jeunes
Cantique.
Bénédiction da Shin Sacrement.
= — D D
Concert de la Chorale
H'y aura le 31 mai, au Collège ‘de Saint-Boniface, un grand concert don- né par la Chorale de Saïint-Boniface. J1 nous fait tout particulièrement plai- sir d'annoncer que M. Hélie, dont l'é loge comme chant eur n'est plus faire, nous donnera plusieurs numéros de chant. Ce chant sera transmis au radio. Man
_…
gens.
à
a ERA ER Ÿ Les missions du Siam
2e : 1
Le R. P. Chauvin, des Mission: Etrangère, était, ces jours-ci de pas .sage à, l'archevêché, eu route pour le Siam. Le vénéré missionnaire a do: né le sermon à la grand'messe, di manche.
Le prédicateur parle de l'apostola dans toutes les sphères et de l' influen ce bienfaisante que chacun peut exer cer autour de lui. 1! donne “ensui un aperçu topographique du- Siam pays situé au sud de la Chine et ei cadré par des montagnes qui ne son que les ramifications des Iimalay: Ce. pays est arrosé par trois grand 1 fleuves. La population est de 10,000, | 000 d'habitants. Ceux-ci s'adonnent : | la cultüre du riz.
Cette contrée jouit d'un climat trr.
Dical. La chaleur y est excessive € été; l'hiver y est inconnu. Les pluie torrentielles se succèdent et le pay est submergé durant ue grande par tié de l'année.
Le. missionnaire nous entretient de produits indigènes: pe essences fores tières très préci l'ébène, le boi: de fer, etc., des St que l'on récolte en abondance, du thé,.du caoutchouc l'est bbn de noter que le Siam four nit 80 pour cent de la production uni verselle du caoukchouc.
Les animaux qui habitent les im menses forêts sont l'éléphant sauvage e* domestique, le tigre, la gazelle, etc Les reptiles ‘y abondent.
Cet aperçu très intéressant est sui-
complie par'les miséionsaires fran. çais. C'est faint François qui le pre
1, soginpient le plus prompt viendra de vingt gou
À Paniel-O'Meara. invita celit-ct-at à
vi de considérations èur l'oeuvre ac.
À prévoir, les ; chaque jour. En venie partout "u sous la. RAA a 2
amis, épouyantés, appelérent au se- ‘cours. L'infortunt se débattait dûns l'eau et alaît disparaître quand Daniel O'Meara, l'un des témoins de l'acci- dent, se précipita à la rivière et ra- mena la victime sur la rive. John So- rrtuk fut immédiatement transporté à l'hôpital où il reçut les soins que re quérait son état. Dans l'après-midi 11 put retourner dans sa famille. ‘
Le club Kiwanis de Saint Boniface, voulant célébrer cet àcté héroïque de
ner-causcrie, -jéudi derntér, ‘O'Menath, élève de l'école Prôvehcher! reçut lès félitftations les plus sincères et les éloges tes plus mérités pour la bra- voure dont il avait fait preuve en seu- vant d'une ‘moït certaine son condis- ciple John Setyruk. Pour perpétuer le souvenir de cette belle action, le club Kiwanis a résolu de faire faire né inédaîlle spéciale qui sera offerte à-Daniel O'Meara.
0 D gg — me
Balle #u camp
- L'inauguration de ja saison de balle ;au camp au pare Sherburn s'est faite samedi dernier en présence de 800 rpectateurs. Le Saint-Boniface et le Crescent ont. participé à cette partie initiale. Celle-ci a été très intéres- sante, Les joueurs, fl faut l'avouer, -manquaient d'entraînement. Il n' y avait pas ce jeu d'ensemble, cet en- train qui produisent les’ bons coups et donnent du relief à la partie. Les jou: tes subséquentes seront assurément plus attrayantes, car tous les joueurs
travaillent dur: ‘dans les pres ré: ‘| gulières. : Jusqu'à Ja huitième manche, le
Saiînt-Boniface avaïît le dessus, et 1 cscomptaît fa victoire. FesStisit et redoubla d'ardeur, ét il 7t si bien qu'à la neuvième manche lé résultat était 12 à 8. Le Saint-Boni- face était Vainct! Toutefois nos jou curs 6nt fait bonne fizure.
Allons donc Iles encourager. Assis- tons le plus souvent possible aux par: ties auxquêlles”"ils Prenrient part.
DD 0———
“Visiteur de l'Est
visite à nos buresux'de à! Vabbé Jo
coutimi, . Qué. mier, M.
Perti en janviér der
jusqu'en Floride, le Texas, remontant
Victoria et à Vancouver.
et de plus Intérestant pour un Canà- dien d'en bäs de Québec, nous 'dft il Inutile d'aller quérir ailleurs, dans d'autres pays, des scènes pittoresques, dés points de vüe féeriques, et surtout des enseignemeñts: chez nous, dans notre pays. Commen cons par bien connaïfre notre péys, nôtre histoire ei ensuite ”“nons pour rons aller voir ailleurs et faire des comparaisons. ‘
M. l'abbé Tremblay à visité l'Alberta et la Saskatchewan, et rendu à Saiut- Boniface il se croyait chez lui. I y . dans quelques semaines et nous espérons qu'il gardera un bon souve- nir de'son passage. dans notre pro- |
lp Nacssens, O.Mf. procureur 4 missions ‘dé l'Alberta. en roüte pour
En traversant Je pont. qui relie:
.| penser chaque année une somme de [91000000 aù Heu de #900.000 Conine |.
Le Crescen‘y
Nous avons eu 1e plaisir d'avoir Ja ÿ | * Pourquoi vous devez vous assurer dans la Sauvegarde
d'aveë que cent voile uvantane.
seph-Emile Tremblay, prêtre de Chf:
l'abbé Tremblay a visité des | Etats de l'Est et de l'Ouest américain |
Par le-nord de la côte du Pacifique à à
Traverser les montagnes Rocheusers | est encore ce Qu'il y a de plus beau
nous les avons
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de. nt De Ames 3 : lue Pre ©
Pau
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ue, ei M. l'abbs Oiivien, de
; Prince-Albert, qu. route pour l'ai. ’
M. Waison vote “est actuelle
r ment en tournée dans l'Ouest, dans
l'intérêt de la Coimpagnie Transatian- + sg dent.il ést le.gérant pour l'Ouest.
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C'est l'avis d' d'un +
ÉTARCT
cherches modernes
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Londres ee de or et
la durée de ia vie puisse s'étendre jus-
| qu'à 150 ans, déclare Sir Ronald Ross,
scientifiques ont conduit à la guérison de la malaria et de la maladie du som- meil. Sir Ronald croit que six sous versés par chaque Anglais permet-
Lches scientifiques avec le résultat que d'on pourrait combattre les microbes et 1x vieillesse et prolonger ainsi la durée de la vie jusqu'à 150 ans, M. Ross est d'avis qu'à 50 où 60 ans, l'homme devrait étre #n pleine jou- -sesse, au lieu d'avoir un piéd dans la tombe, Nous vivons une vie remplie d'obstatles parce que nous sommes la proie de millions de microbes. Rom- portons la victoire sur les microbes et nous pourrons ensuite siens atteindre 150-ans'et plus.
‘hya 80 ns passés, ki vie moyenne d'un habitant de Londres Gtait de- #4 -1: mois, ‘et celle d'une femue,
de Sians jot S moin, 8t 59 ans. Ai: la sulence,® en 80 uns, à prolohes ia vite de 20 ans. l'équivalent d'un’ soù par 1ête en An- gleterre pour des recherches scienti: fiques, mais si le peuple voulait dé- -penser six sous par tête, on obticu- drait dé brillants résultats.
Un savant de ;l'Institut Pasteur de
Paris a prédit que dans cent ans, Es mieux et
| monde vivrait eh moyenne jusqu'à 15 ans, Le grand savant Je à Metchnikoff opine dans le même sens. Aù-cours-de-la-prochaine-génération: toutes les maladies destructive; se
avant même qu'elles se déclarent. Les läboratoires travaillent activement de jour en jour. L'Institut Pasteur che; che la guérison du cancer et de la tn. bérculose, et\l'institut Ross, de Lon- dres, rechèrche les moyens de guérir la lèpre.
\
Les savants espèrent qu'avant long-,
temps chaque ville sera dotée de son laboratoire de recherches scientifi- ques. Sie monde médical pouvait dé-
de nos jours, nos arrière:-petits-en. fants séraient tous des centenaires.
Le Holew s Cove Remove ris
‘arrache les cors avec la racine. Fans ÿes-le et "eyes convaincu.
‘La seule compagoie d'ansurunee
années, sc clans d'intérét. département des an12#u0rances.
Vates que nos tnux sont lés-méêmes dèe eeué des autrer compagnies ! el que n0% pébiois sont pafini ics wvlus avantagelses que vous isnies trouver,
larce Que vous êtes certain de tois et TR assurés, de fleur être agréable,
l'urce Que Lx Hauvegarde, avec
vrits et vingt-deux ee Pod 9 04 expéries
«tères de premier ordre pour l'avenir,
d'hommes qui sont couRUEs « de notre race, dOnt la com
purent pour la compagnie et eo ÿ pe assurés.
Parce qu'enfin, eu, dehors ‘en üttre un Autre
aui moit Ft ‘En
pu Se
VIVRE L 150 ANS
traitent de faire de nouvelles rechet- }-
De nos jotirs, on en que vous ne
7. SAUVEGARDE
*ASSTHANCH VIE Plus d'on million de doliars payés h dnte nux nunurés ou à leurs fnmiller Près de vingt millions d'assurance en farce
Dariui les compagnies Lette. conatatation se 1rouveæ
Notre uimbition la plus
et de leur donner ples: 14 satisfaction en autant que mous en avons le pouvoir...
Marée que le bureau de téréet in} de la Sauv-sorde ent constitué
n bout, 4 l'autre du Duminiôon, “leaders” rence ancière Iindise utabie un actif e 1ous con à ge emarde vous
C'est qu'elle ont In motte
vo Vous #uvez que vos primes ferwiront ad race, purce h elles seront plicéen dons dv Lu pi dd canadiennes,
pe Aristide Briand, par Robert Carié
V1. Les Pulssancés trômpeuses (+00. ventre). par Clfide d'Habloville. “WIL. La politique -éträngère: Conti. nuité de la politique d'Allemagne, par L Dumont-Wilden.
VI. Le roman: Armes étrançires. par Firmin Kôz.
IX. L'histoire: La France et 'Rote péndent les guerres -de religions, par Paul Fe WA:
-X. Les littératures étrangères: bru-À ‘du théâtre -£atalan, per Aüdria
‘a Le thésire: Gaston Rageot. XII. Variétés: Ainstein contre .Pla- [ton?, par Pierre Waitz « XIIL Les livrés nouveaux. XIV. La quinsnine poltique:
Ed l'idole coque pa:
"La
des re- Question d'Ortent, par René Puaux:
,| Yousoïlarie. par Botivolé-B. Mirkc- FLviten. : XV. Bulletin maritfme:
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Au-
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On an, 66 francs “Revue “Bleue” et “Revue Scientin- que” (réunies), France: six mois, 40 francs;*un an, 74 francs. Etranger: six mois, 56 francs; un an, 100 francs ” Pris du numéro: France, 1 fr. 90; étranger, 2 fr. 50. — Paris, 286, bou- levard Saint-Germäin (Vie).
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Bon Ami—Sohde ou en poudre, Shynoi—Pour nettoyer les pots, ù j mn Disc Melntyÿre, Tél A du Manitoba s'est terminé samédi par «2 pour 25 sous. les poëles, les fenêtres. 2 mor- Ciseaux pour herbe, manche en Bêchps pour jardin—Manches “D, >. que le comité avait pu remettre à la deux concerts donnés par les vain: Ammoniätue de maison—12, 15, ceaux pour 15 sous. \ bots dur anglais, lames a 8 pou: | RIT CS 2. “* y bis CREER tout pràs | commission scolaire paroissiale Ja 25 ét 35/sous la bouteille. Savon à blanchissage “7els Naph- , ces. $145. Pelles—Bout rond, 93 sous. | | pal À > ha ge eve naz | somme de $110. Nous tenons donc à | 1MeUFS des différenis concours, à la Composé “Eaton” pour balayage— ta”—10 pour 68 sous. Truetle anglaise—40 et 50 sous. _Pelles—Bout. carré. 98 sous. Ve0 deres ‘tout en | féliciter les dames de leur succès, et | #uite desquels lé récompenses leur 35 sous Ia boîte. 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Elle est plus crête que la. Corse; son | ÇGais dans l'Ontario Le ‘sertadiiald
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Et, devenu rot #bso!u de l'Anticosti | une figure de femme très — sous la suzeraineté, assez lontaine, | très héroïque et malheureu: du Canada, — M. Gaston Menier en |peu connue: Judith Moréau de A fait un immense jardin d'acclimata- | solles. Puis l'on trouvera encore dar tion! 11 y à mis des renards argen- | cette livraison d'avril, une bibliogra- tés, qui se multiplient par milliers; | phie assez étendue, beaucoup de blocs : < des cerfs, devenus si nombreux qu'ils | notes intéressants et la “Vie de l'“Ac- La mère et les enfants de- | s'entretuent à seule fin, semble-t-il, de |'tion française” de Jacques Brassier.
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arettes, tabacs, pipes, choco- , tag ane 1 etc, etc. deux familles honorables, a causé une pénible impression.
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——— chassés sur toute la terre, semblaient | “Pendant huit ans j'ai souffert D NP A . H U O 1 Mme Pitras et ses cinq enfants, de | ondamnés à ahparaltre: le-formida-| de douleurs dans la hanche rodille danse fière :14 48 = ilia municipalité du Lac du Bonnet, | ble élan, le bison, l'auroch. droite et l'épaule gauche”, écrit
Myers Linitée TE: ar “R yers MARCHAND-TAILLEUR ‘sont réstés stationnés pendant toute. 11 y a aussi des castors qui y cons- : Mme Rosall Kuhn, de Hanna; Quesnel et Parfum aie" i © As tuejames ‘.. Winnipeg || 182, avenue Provencher, Saint-Boniface| une journée devant la prison provin-| truisent leurs villages lacustres M.| Alta, “Le docteur dit que c'é- DEN riviere mms ke à | tels + Représentants de Téléphone N 2670 ciale pour protester contre l'emprison- | Gaston Meunier a réalisé le rève que {ait des rhumatismes mais ses Cie Richard- Bélivèau ù 8. BAILLARGEON LIMITEE ue nement de William Pitras, le.chef de | Chacun # fait fout enfant, du jour médicaments ne me firent au- ‘ Complets la famille. Le erlme de ce dernier | qu'il a lu *Robidson Crusoé”. ;cun bien. Alors nôtre pm à 830, rue Main Winnipeg _ était d'avoir fabriqué un peu de “home ———— m2 — me dit: “Pourquoi ne pur faits SUP |brew* pour son propre usage, et fl }säyer du Novoro dur Dr Pierre, avait 616 condamné de ce fait à six Vient de paraître “Qi a aidé tant de personnes,
mesure mois de prison. Depuis trois mois
5 urquoi pas vous?” Et il avait qu'il purge sa peine, la femme et les Voici ce qu'on lira dans la livrat:
raisoÿ, cinq bouteilles ‘de No-
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35 sous 7 $27 00 enfants ont subi de dures privations. [son d'avril de l“Action frasçaise"? | Yor6 du Dr Pierre m'ont débar-
# “ ° S'il n'est pas libéré immédiatement, l'tout d'abord un mot d'ordre qui rap-|rassée de mes douleurs et je
he :...0MeS nes il ne se fera aucune culture sur le pe-| Pelle les Caractères essentiels de la | vais très bien” Cet incompa-
il 50 sous $50 00 tit “homestead” et ce sera la misère | fête de Dollard, glorification du héros | rable remède végétal a un effet * À ne 408: BADALI, Gérant :: pendant toute une année. de 1660, mais aussi prise de contact! salutaire sur le système ner-
à an vo 4” op te Des sociétés s'intéressent au $ort | Vec une très nôble histoire qui devra es, il fortifie les fonctions
, = fournir des stimulants à nos volontés. L'étude sur ,le bilinguisme, signée ce mois-ci, d'un grand nom, celui du sé- nateur N-A Belcourt, maintient à l'enquête de la revue la magnifique al- lure que nous lui avons vue depuis Janvier. Cetteiféis c'est un tableau
Semifinis |de cette famille dans le besoin et l'on espère obtenir d'ici quelques jours la ME $18.00 libération conditionnelle de Pitras. — 2025 2 ——— $40 00 L'île d'Anticosti gr à L'île d'Anticosti, apprènezle, si vous
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